Vanity Fair, enfin une version française !!

Publié le 28 juin 2013 par Eluxcubrations @eluxcubrations

Un nouveau magazine féminin et d’actualités

En kiosque depuis le 26 juin, Vanity Fair débarque enfin en France !! Ce magazine est tout simplement un mythe !! Après 100 ans d’existence aux USA, le magazine alliant actualités, glamour et esthétisme lance sa version française, qui se veut garder une véritable french touch !
- Plus de culture, reflet de l’importance qu’elle consacre aux arts et aux lettres ;
- Plus de mode, partie intégrante de sa vie culturelle et artistique ;
- Plus d’impertinence, pour incarner sa liberté de ton ;
- Plus d’international, symbole de son ouverture sur le monde.

Ce n’est pas un hasard si Vanity Fair a choisi, pour la couverture de son premier numéro, lastar américaine Scarlett Johansson (photographiée par Mark Seliger). Elle incarne à elle seule l’esprit de ce magazine « brillant dehors, mordant dedans ». Icône sexy de Hollywood et amoureuse de la France, élégante et spirituelle, aussi convaincante dans les films d’auteur que dans les blockbusters, elle est l’égérie transatlantique idéale.

L’investigation est dans l’ADN de Vanity Fair. Ce mois-ci, trois histoires fameuses sont racontées en exclusivité par des protagonistes qui ne s’étaient pas (ou peu) exprimés jusqu’à présent. L’ancien majordome des Bettencourt raconte pour la première fois pourquoi et comment il a décidé d’enregistrer en secret les conversations de la femme la plus riche de France. Lakshmi Mittal, le roi de l’acier, livre une version inédite de ses tractations avec le pouvoir français. L’incroyable faussaire Wolfgang Beltracchi, emprisonné en Allemagne, révèle comment il a dupé les plus grands experts de Georges Braque et de Fernand Léger.

Vanity Fair dévoile aussi trois destins méconnus. A Moscou, Xenia Sobtchak est passée de la
télé réalité à l’opposition anti-Poutine. Au Tibet, Nicholas Vreeland a troqué ses costumes de night-clubber new-yorkais pour une robe de bonze et une place de conseiller auprès du dalaï lama. A Paris, le joaillier Joel Arthur Rosenthal dit JAR a fait du secret une marque de fabrique. Vanity Fair accueille aussi des signatures prestigieuses qui nourrissent la polémique chic et livrent des opinions originales. Ce mois-ci, la journaliste Catherine Nay, le philosophe Alain Badiou, les prix Goncourt Jean-Jacques Schuhl et Atiq Rahimi, sont nos invités spéciaux.
Pour Vanity Fair, la mode est aussi le moyen de raconter des histoires en images et en mots. Dans ce numéro, le photographe Max Vadukul met en scène les correspondances entre les toiles de Balthus et les collections automne-hiver. La rubrique flashback permet, quant à elle, de redécouvrir des lieux ou des personnages mythiques – en l’occurrence, les Bains Douches, boîte de nuit légendaire bientôt reconvertie en hôtel de luxe.

Personnellement, je l’ai acheté et j’ai adoré ! Un magazine de qualité : une rédaction intelligente, un papier glacé très agréable à manipuler, des publicités de luxe (notamment une double page Chanel joaillerie qui vaut la peine d’être vue, un prix à 2€… Alors faut en profiter

Les versions interactives

En parallèle, la rédaction lance Vanityfair.fr qui offre au quotidien dès le  25 juin un regard distancié sur l’actualité, avec  intelligence, style et humour. Ayant été  conçu comme une expérience de lecture innovante, le premier site de Vanity Fair à naître  dans l’ère des réseaux sociaux révèle un design unique qui mêle, comme sur le papier,  l’information et le glamour.
Une application interactive mensuelle est disponible sur le newsstand d’Apple en version enrichie pour l’iPad mais également à venir dès le n°2 sous tablettes Android. L’application de Vanity Fair sera enrichie avec des bonus exclusifs vidéos, audio  et illustrations animées en HTML5 ou encore avec des diaporamas interactifs.

Un magazine de plus ou une vraie nouveauté parmi les magazines féminins ?