Woerth et Mandela unis pour sauver l'UMP

Publié le 05 juillet 2013 par Bravepatrie

4 juillet 2013, les juristes pusillanimes du Conseil Constitutionnel viennent de rejeter les comptes de campagne 2012 du président-candidat philanthrope Nicolas Sarkozy, affligeant l’intéressé d’un impayé personnel de plus de 500 000 euros et d’une facture de plus de 10 millions pour l’UMP.

Le premier vrai parti de France avait protégé pendant plus de 10 ans la France des crises économiques, du chômage, de l’insécurité ambiante, des Femen et du réchauffement climatique. Ingrate et séduite par les jongleries démagogues de la Gauche, une minorité de Français a suffi pour interdire au Leader suprême de continuer sa mission de paix et de croissance au service de la France. Suite logique, l’hydre socialiste a finalement mis au pas le Conseil constitutionnel en expulsant pour l’exemple sa désobéissante Ministre de l’Écologie, et ordonné ainsi un véritable holdup de son concurrent le plus féroce pour se maintenir au pouvoir.

Madame Copé au Mont de Piété

La Résistance ne s’est pas faite attendre, le Leader un peu moins suprême mais plein de superbe Jean-François Copé ayant lancé, une émotion palpable dans la voix, « une grande souscription nationale » à tous les Français désireux de sauver la France de « la gauche » et des « partis extrémistes ». Madame Copé a aussitôt montré l’exemple en mettant ses bijoux en gage au Mont de piété et Bernard Tapie tenté de lui voler la vedette en proposant aux enchères une paire de lacets tressés en scoubidou ainsi qu’une paire de menottes fantaisies griffées Madame Grès.

Eric Woerth missionné en Afrique du Sud

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"Contrairement aux Noirs, l’argent n’a pas d’odeur" Anonyme

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"Contrairement aux Noirs, l’argent n’a pas d’odeur" Anonyme

« Ainsi les derniers seront les premiers » dit le Livre, et c’est un homme martyrisé, persécuté, foulé au pied et moqué par les médias, les juges et les avocaillons de qui viendra la plus généreuse souscription : Éric Woerth s’est en effet proposé pour se rendre au chevet de l’ex taulard Nelson Mandela afin de le convaincre de racheter ses erreurs passées par une grosse enveloppe au bénéfice de l’UMP. « Un safari fundraising, je n’ai encore jamais fait, mais il faut savoir se challenger », aurait déclaré l’ex trésorier de l’UMP, avant d’ajouter : « Petit déjà, j’avais un truc avec les vieux, je souriais et ils me donnaient des bonbons. Maintenant, ils me font des chèques. » D’aucuns murmurent d’ailleurs qu’Éric Woerth emmènerait dans sa suite deux experts du « rebranchage », Jean et Xavière T. au cas où il arriverait trop tard à Pretoria.