« Les lendemains de soirée ou comment couvrir ses amis stagiaires »

Publié le 17 avril 2013 par Laura P.

Les joies d’habiter sur un campus universitaire sont multiples :
-proximité de l’école/fac
-coin de verdure
-foule cosmopolite
-petites épiceries
-les soirées étudiantes

Bon les quatre premiers points sont biens, pratiques, tout ça tout ça.
Mais revenons sur le point numéro cinq.
Ayant pratiqué, hum, bon pratiquant toujours ce genre de soirées, ça va vite, très vite, trop vite.
Autant dire les lendemains sont rudes, très très rudes.

Il est donc logique de planifier ses soirées en fonction du planning du jour suivant.
Tu ne vas pas te coucher en mode 4×4 (à quatre heures du matin et à quatre pattes) en sachant que le lendemain tu dois pointer à l’hosto à sept heures tapantes.
Tout ça c’est la théorie et puis il y a la pratique.

Il y a cette stagiaire (baptisée qui plus est) qui est tombée dans un guet-apens tendu par ses chers confrères et consœurs. Ils n’ont donc pas aidé à sauvegarder sa sobriété lors de cette soirée.

Le lendemain matin en question, je retrouve ma collègue, le regard embué, le cheveu en bataille. Je lui demande donc ce qu’il a bien pu se passer. Et là, le drame. Elle me regarde, sourit et me lance : « J’suis encore rée-bou ».

BONJOUR ! IL EST 7H, LE SOLEIL BRILLE, LES OISEAUX CHANTENT (PRESQUE).
La journée promettait d’être, comment dire, intéressante.

C’est donc avec l’aide des autres stagiaires que nous avons fait son boulot pendant qu’elle se donnait l’air affairé dans les différents recoins de l’unité.

L’entre-aide c’est beau.


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