à ces oiseaux désemparés
que le vent déporte
de tempête en tempête
et qui s’élancent
à l’assaut du soleil
pour retomber calcinés
dans une poussière de sang.
***
Francis Giauque (1934-1965) – L’Ombre et la nuit (1962)
à ces oiseaux désemparés
que le vent déporte
de tempête en tempête
et qui s’élancent
à l’assaut du soleil
pour retomber calcinés
dans une poussière de sang.
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Francis Giauque (1934-1965) – L’Ombre et la nuit (1962)