Contrelittérature n° 8 (2002)

Par Contrelitterature

     Le n° 8 de Contrelittérature provoqua l’ostracisme de certains adorateurs de Dominique de Roux qui jugèrent, fort injustement, ma notule injurieuse (“Pourquoi faire ?”, p. 25). C’est pourtant, à mes yeux, une évidence que l’oeuvre de Dominique de Roux “manque” de  toute profondeur métaphysique (la “profondeur”, qui est une grâce spirituelle, est d’ailleurs absente des écrits de Richard Millet, édité aujourd’hui – il n’y a pas de hasard ! – par Pierre-Guillaume de Roux).

   J’avais, d'autre part, refusé pour ce numéro un article de Jean Parvulesco sur ce qu'il appelait le “catholicisme transcendantal” d'Heidegger (le Dieu d’Heidegger étant un étant, je ne pouvais souscrire à cette lecture aberrante). Parvulesco cessa immédiatement toute collaboration à la revue, participant ainsi à l’opprobre des bien-pensants. Nous n’avons qu’un seul ami et tout le reste n’est que littérature…

Alain Santacreu

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