Une Gauche obsolète

Publié le 22 août 2013 par Observatoiredumensonge

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 Une gauche obsolète  

qui promet et qui n’a rien !

(Victor Hugo, Les Voix Intérieures)

Le Président Hollande vient d’organiser un séminaire ce 19 août 2013 sur le thème de l’avenir.

L’avenir dans 10 ans est donc le thème imposé par Hollande à son gouvernement. Vous trouverez la lettre d’introduction du Président à la fin de cet article. Lisez-là pour mieux comprendre l’enjeu. Et aussi la vidéo du discours du Premier Ministre qui se croit dans un autre monde…

J’ai trouvé ce séminaire bien révélateur.

En effet la Gauche est simplement obsolète et continue à se croire en campagne électorale. Elle ne gouverne rien, n’agit pas mais se présente pour 2017, déjà !

Que font les socialistes ? D’un côté ils reprennent leur leitmotiv sur la reprise du pays derrière la Droite qui leur a laissé une mauvaise situation et de l’autre côté, ils évoquent le futur, leur futur, comme si aujourd’hui tout allait bien grâce à eux en France.

Ils sont satisfaits et se reconnaissent une compétence alors que la réalité est devenue dramatique et que les Français ont commencé à comprendre leur erreur d’avoir porté cette gauche obsolète au pouvoir.

En quelques mois seulement, cette Gauche sûre d’elle et prétentieuse a ruiné l’économie du pays. Le chômage come l’insécurité ont explosé. L’avenir n’est pas rose mais morose.

Les Français, plus de la moitié dupes quand même, commencent à réaliser dans quel bourbier ce gouvernement les a précipités.

Les ambitieux de l’UMP veulent faire le procès de Sarkozy, qui soit dit en passant rendrait un colossal service à la Gauche en difficulté, à croire même qu’il s’agit d’une alliance entre UMP et Parti Socialiste.

La politique est un jeu trouble avec des prétendants prêts à tout pour prendre des places au détriment de la France reléguée à un simple faire valoir.

Ces prétendants de l’UMP sont-ils devenus l’aile droite du socialisme français ?

Ce gouvernement incapable de redresser la situation et pire développant la misère se discrédite chaque jour davantage.

Par contre ce gouvernement n’a peur de rien pour faire sa propagande parce que faire un séminaire sur le futur quand tout va si mal si quasiment surréaliste et surtout déplacé.

Ils ont donc disserté sur la France dans dix ans genre on sera encore là à gouverner vu nos capacités.

Pourquoi dix ans ? Le président l’explique : « 10 ans, c’est le temps à la fois de la conception et de l’action. ».

Bah voyons ! Non content de nous ruiner, les socialistes espèrent durer en plus…

Un discours creux et vide. Rien de concret dans un mélange de lyrisme et de dialectique cher aux dogmatiques qui nous gouvernent. On y retrouve les mots habituels de la Gauche comme solidarité, rassemblement, universalité, etc. Tout le paquetage du national-socialisme

Ce gouvernement qui à part étouffer la France d’impôts et autres taxes ne fait rien est content de lui. Il s’auto congratule dans un séminaire de niveau maternelle (première année) encensé par des médias aux ordres et sectaires.

Ahurissant et anachronique sont les qualificatifs qui viennent automatiquement sur ce séminaire.

La France en difficultés souffre et ce gouvernement se croit dans un parc d’attractions ou un zoo qu’il visite en s’ébahissant devant chaque stand ou cage  !

D’ailleurs on ne peut que le constater avec l’affaire Valls qui en prenant une simple position donc aucun acte fait immédiatement ressurgir le sectarisme des socialistes et affiliés.

Parce que la vérité est là : les socialistes n’ont aucune ouverture d’esprit et gouvernent la France comme leur parti c’est-à-dire étroitement et sans imagination. Parce qu’ils se croient toujours entre camarades et dans un salon pour discuter, ils en oublient toutes réalités au détriment même du pays.
Ils sont en plus grotesques. Un exemple concret avec la Ministre de la Santé qui veut légiférer contre la cigarette électronique et en même temps ouvre des salles publiques pour se droguer, ce que j’a i intitulé des droguoirs©.

Facile de critiquer le prédécesseur, ils l’ont encore fait dans ce séminaire quinze mois après quand même leur prise de tous les pouvoirs, mais à condition au moins d’avoir réussi, ce qui n’est pas du tout leur cas.

Une enquête d’opinions a classé les ministres selon leur popularité et en voici le résultat (sources Planet.fr) :

  • 1.Manuel Valls : 61% de satisfaits
  • 2.Laurent Fabius : 50% de satisfaits
  • 3.Christiane Taubira : 39% de satisfaits
  • 4.Vincent Peillon : 39% de satisfaits
  • 5.Benoit Hamon : 38% de satisfaits
  • 6.Cécile Duflot : 37% de satisfaits
  • 7.Michel Sapin : 36% de satisfaits
  • 8.Arnaud Montebourg : 35% de satisfaits
  • 9.Pierre Moscovici : 34% de satisfaits

On ne peut que constater que le Président privilégie une Ministre mal classée comme Duflot en désavouant le Ministre préféré du public qui est Valls. Ce dernier a commis un crime de lèse-majesté en évoquant le problème du regroupement familial et de l’Islam en France. Sujets éminents tabous chez les sectaires de base qui se croient toujours dans l’opposition : il suffit d’écouter les écologistes à qui personne n’a encore dit que deux d’entre eux étaient ministres depuis quinze mois de ce gouvernement. Même Eva Joly est ressortie pour l’occasion de son hibernation pour attaquer Valls. les mots du national-socialisme sont à nouveau usités avec le sempiternel "attention, valls se rapproche du FN" ou "il se droitise".

Toujours est-il que les Français en vacances vont quand même avoir une belle hausse des impôts dès leur retour avec la CSG qui augmente de 0,5 % en septembre. Et ce n’est pas fini, car les socialistes bien incapables de faire face à la crise vont chercher d’autres augmentations ou créations d’impôts.

Une Gauche du passé et dépassée qui continue à croire qu’elle peut embobiner les gens. C’était vrai dans l’opposition mais cela ne résiste absolument pas à la réalité des faits.

Je persiste à dire que cette Gauche est obsolète.

Alexandre Goldfarb

Président Fondateur de l‘Observatoire du MENSONGE

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ANNEXES

La lettre du Président :

Monsieur le Premier ministre,

Mesdames et Messieurs les ministres,

Cher(e)s ami(e)s,

Je vous retrouve pour ce séminaire. Il marque la rentrée du gouvernement.

Celle-ci est placée autour de trois grandes questions :

La préparation du budget. Celui de l’Etat comme de la Sécurité Sociale, avec les économies à conduire et les prélèvements à limiter ;

La réalité de la reprise économique avec ses conséquences sur l’inversion de la courbe du chômage ;

La sauvegarde de notre système de retraites par répartition. C’est le patrimoine de chaque Français.

Les réponses seront apportées par le Gouvernement d’ici la fin de ce mois.

Mais nous sommes réunis ce matin non seulement pour traiter l’immédiat et l’urgence, mais aussi pour dire ce que nous voulons faire de la France pour les dix ans qui viennent.

C’est la vocation du pouvoir politique que de définir une stratégie nationale, dans le même temps où il prend en charge les problèmes du quotidien.

C’est le moment de le faire.

Il y a un an, nous arrivions aux responsabilités dans le contexte de la crise de la zone euro. Ces incertitudes majeures ont depuis été largement surmontées. Il en reste bien d’autres et nous ne sommes pas encore entrés dans une phase de croissance durable. D’où la nécessité de nous projeter, à condition de bien saisir la singularité de notre pays. Ses atouts comme ses faiblesses.

La France est une Nation à vocation universelle. Elle pèse dans le destin de l’Europe. Elle a vocation à agir à l’échelle mondiale. Elle a donc besoin d’un projet collectif.

Nous avons commencé d’y travailler : la loi de refondation de l’école, celle sur l’enseignement supérieur, la transition énergétique, le plan des investissements d’avenir, le redressement productif, le plan pour la compétitivité, la modernisation du marché du travail, la Banque publique d’investissement.

Nous devons donner un cadre, une cohérence à ces décisions.

C’est le sens de cette stratégie à 10 ans.

Pourquoi 10 ans ?

Parce qu’une décennie c’est le temps du possible, c’est une durée suffisante pour traduire des choix, pour rendre visible les investissements engagés, pour modifier les comportements.

10 ans, c’est une échelle où bon nombre de tendances et de paramètres sont d’ores et déjà connus. C’est vrai pour la démographie, pour le climat, pour les ressources naturelles et même pour les rapports de force internationaux.

10 ans, c’est le temps à la fois de la conception et de l’action. En deçà, nous sommes dans la gestion. Au-delà, dans la prospective. Certes, tout ne peut pas être anticipé : les conflits, les catastrophes, les crises. Encore est-ce la responsabilité de la France de contribuer à les prévenir.

10 ans, c’est aussi le temps qui permet de mesurer les effets tangibles d’une politique. En dix ans, un pays peut perdre ou gagner des places dans les classements internationaux dans de nombreux domaines (recherche, universités, compétitivité…). Peut même changer de statut ! Ainsi, depuis 2002, la France a vécu une « décennie perdue » : dégradation de sa compétitivité, repli de sa production industrielle, atonie de la croissance, aggravation des inégalités, affaiblissement du modèle républicain.

Quels sont les grands défis que notre pays doit relever d’ici dix ans ?

J’en vois trois.

1- Le premier est celui de notre souveraineté. D’abord notre souveraineté politique, diplomatique, militaire. Non pour des arguments de puissance, de domination ou de contrôle. Mais pour promouvoir le message, les valeurs et les intérêts de la France. C’est le choix que nous avons fait avec la loi de programmation militaire. C’est le sens de notre présence partout dans le monde. C’est l’enjeu de la francophonie. Mais la souveraineté, elle est surtout budgétaire, économique, industrielle, agricole, énergétique.

Nous ne pèserons sur les orientations de l’Europe et la régulation mondiale que si nous retrouvons une compétitivité élevée, un niveau de dette publique soutenable et une moindre dépendance énergétique.

Cette souveraineté n’est pas un repli, un enfermement. Elle s’inscrit dans nos choix européens et dans notre ouverture au monde. L’Europe a besoin d’une France forte. Et le monde, d’une France influente.

2- Le second est celui de notre excellence. L’excellence c’est de pouvoir élever le niveau de la France dans la mondialisation par l’innovation, la spécialisation et l’adaptation aux besoins de l’économie de demain et notamment des classes moyennes des pays émergents. C’est d’être un pays de premier rang.

Mais nous avons deux choix à faire : élever la part de l’industrie dans la production nationale et amplifier les gisements de l’économie de services.

Ils ne sont pas contradictoires. Sans industrie forte, l’équilibre de nos échanges ne peut être retrouvé. Sans le développement des services, il ne peut y avoir de création d’emplois.

L’excellence, c’est de rendre plus efficace et plus juste notre système de protection sociale et d’organisation territoriale.

L’excellence, c’est aussi une France capable d’être en avance dans les domaines de la recherche, de la connaissance et de la culture.

L’excellence, c’est d’être un pays où l’exigence environnementale assure sobriété énergétique, performance économique et solidarité territoriale.

3- Enfin, le troisième défi est celui de notre unité. Unité des générations face à l’avenir des retraites et la priorité à l’emploi. Unité des catégories sociales face à la lutte contre les inégalités et aux exigences de la solidarité. Unité des modes de vie et des cultures face à la communautarisation, à la fragmentation, à l’individualisme.

Si nous voulons prévenir les risques du déclassement et de la désintégration, nous devons porter des politiques de cohésion et des projets qui rassemblent le pays tout entier.

Une stratégie à dix ans pourrait s’articuler autour de cinq objectifs.

1. Utiliser pleinement notre avantage démographique.

La France est le pays européen qui dispose du taux de natalité le plus élevé, de la population la plus jeune et qui assure le renouvellement des générations.

Prendre conscience de cet atout, c’est organiser un système de formation initiale et continue lié aux métiers du futur, c’est fixer l’objectif de « diplômer » la moitié d’une classe d’âge dans l’enseignement supérieur, c’est mettre les nouvelles technologies à la portée de tous.

C’est introduire des dispositifs pour prévenir les échecs, pour réduire les inégalités scolaires, c’est faire de l’apprentissage et de l’alternance une filière d’excellence.

Cette insertion des jeunes est d’autant plus impérieuse que la France fera face parallèlement au grand vieillissement qui génèrera des coûts supplémentaires mais aussi des opportunités, en termes de technologies, comme de services (la « silver » économie).

Le capital de la France c’est sa population, son niveau de qualification, sa mobilité, son savoir-faire, ses capacités.

2. Gagner la bataille de la mondialisation.

C’est la condition aussi pour l’amélioration de notre niveau de vie, c’est-à-dire du pouvoir d’achat de la Nation.

Nos faiblesses sont connues : des entreprises trop petites, trop peu tournées vers l’exportation et une insuffisante spécialisation sectorielle. S’y ajoutent un taux d’investissement trop faible, une base industrielle trop étroite et une compétitivité dégradée.

Mais nous avons aussi des atouts : de grandes entreprises à taille mondiale, une capacité d’innovation reconnue, une « marque France » appréciée dans les secteurs prisés par les consommateurs des pays émergents. Et l’attractivité de notre territoire.

Notre stratégie à 10 ans doit donc créer le meilleur environnement pour les entreprises exportatrices (formation, financements, fiscalité), simplifier l’Etat pour le rendre plus fort et plus rapide, stimuler l’innovation et la création, organiser les nouvelles filières industrielles (numérique, bio-technologies, le stockage de l’énergie…) et cultiver l’exception française (l’agro-alimentaire, le luxe, la culture, le tourisme).

Mais, l’élévation de la performance nationale exige une politique d’infrastructures permettant de diminuer les coûts et de faciliter la mobilité : qualité des services publics, efficacité des transports, prix des logements, coût de l’énergie…

3. Réussir la transition énergétique et écologique.

La lutte contre le réchauffement est un objectif planétaire. C’est un engagement européen. Ce doit être une « ardente obligation » nationale.

Là aussi les considérations liées à l’environnement, à la santé, aux générations futures se conjuguent avec les arguments économiques, les préoccupations sociales et le mode de développement. Une politique énergétique est, par définition, celle du temps long. C’est maintenant que nous devons amplifier la diversification de nos sources d’énergie, et engager la sobriété énergétique. Notre objectif peut être en ces domaines aisément quantifié et les instruments, réglementaires, financiers, fiscaux, être déployés tout au long de la décennie.

C’est un enjeu industriel. C’est un gisement d’emplois. C’est une perspective de pouvoir d’achat par la réduction des dépenses contraintes.

4. Faire de notre territoire un levier de développement.

L’organisation de notre espace, son équilibre, voire son administration, constituent des objectifs à 10 ans.

De notre capacité à occuper harmonieusement le territoire dépendent aussi nos résultats économiques et notre cohésion nationale.

Car la fracture territoriale est là : d’un côté des métropoles dynamiques de l’autre des quartiers délaissés, des zones péri-urbaines de plus en plus éloignées des centres, des espaces ruraux abandonnés.

Il y a un « scénario de l’inacceptable » qui s’écrit chaque jour faute d’une maîtrise du foncier, de la désindustrialisation, de la dilution des solidarités de proximité, de temps de transport insupportables, d’une insécurité qui s’étend.

Le cap stratégique doit être de rendre accessible les villes, d’installer des activités sur l’ensemble du pays, de mettre le numérique à la disposition de tous, de créer une économie circulaire, de rénover les réseaux de transport et de maintenir une agriculture de qualité. Bref, de réinventer l’aménagement du territoire.

Dans cette perspective, la valorisation de notre façade maritime est un atout majeur dans la mondialisation. C’est la « croissance bleue ».

5. Inclure tous les citoyens dans la République.

La dernière période a été marquée par une montée des inégalités. Cela vaut pour les revenus et les patrimoines. Cela vaut surtout pour l’accès à l’éducation, à l’emploi, à la santé, au logement. Bref, la vie est plus dure pour un nombre de plus en plus grand de nos concitoyens et l’idée même du progrès s’est affaiblie, pour ne pas dire effacée.

Dans le même temps, de nouveaux clivages ont fait ressurgir de nouvelles peurs. Les valeurs de la République sont devenues elles-mêmes plus discutées comme si elles étaient discutables à force de ne pas être effectives.

Face à ces dérives, nous devons réaffirmer les missions de l’école, accompagner les parcours vers l’emploi, travailler à une plus grande mixité sociale, affirmer la laïcité comme règle de vie en commun, élargir le service civique, encourager la vie associative et la démocratie de participation.

***

Notre avenir à 10 ans dépend de nous. Du Gouvernement sûrement, de l’Etat nécessairement. Mais surtout de l’ensemble du pays. C’est cette liberté de faire, de créer, d’entreprendre que nous devons stimuler.

La définition d’une stratégie nationale présente donc plusieurs intérêts majeurs :

   Montrer un chemin qui permet à notre pays d’avancer avec des repères et des indicateurs clairement identifiés ;

   Engager des choix collectifs qui organisent les transitions majeures ;

   Adapter nos politiques et nos instruments en fonction des objectifs fixés ;

   Ouvrir une large concertation avec l’ensemble des forces vives.

La stratégie a 10 ans, est en ligne avec la priorité accordée à la jeunesse. Car c’est le temps long et la volonté de faire prévaloir l’avenir sur le seul présent qui donne du crédit à cette orientation générationnelle.

Pour être menée à bien, cette stratégie exigera des financements importants.

Le niveau de l’endettement public, comme celui des prélèvements obligatoires, sont des contraintes durables. Nous avons même le devoir de diminuer l’un et l’autre.

L’épargne des ménages, comme l’investissement des entreprises devront donc être largement sollicités. D’où l’importance de produits de placement de longue durée et de partenariats publics-privés équilibrés pour le financement de grands chantiers en matière d’urbanisme, de transports, de couverture du territoire en nouvelles technologies.

De même, je souhaite que la France se porte candidate pour l’organisation de grands événements culturels et sportifs.

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Notre réunion d’aujourd’hui est la première étape d’un processus qui se poursuivra, sous la responsabilité du Commissariat général, jusqu’à la fin de l’année et fera une large place à la consultation. Il commence avec le travail introductif de Jean PISANI-FERRY et le rapport de Anne LAUVERGEON. Il se conclura avec l’adoption par le Gouvernement de « la stratégie pour la France ».

« L’avenir n’est pas ce qui va arriver mais ce que nous allons faire », nous a enseigné BERGSON.

Bref, l’enjeu c’est de ne pas subir mais de choisir. C’est le sens de la démarche engagée aujourd’hui.

La vidéo du Premier Ministre : cliquez ICI

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