Sur les 3 793 patients décédés pendant l'étude, 24,4 % seulement avaient alors un proche à leur côté. Édouard Ferrand du service de soins intensifs de l'hôpital Henri Mondor à Créteil, estime
"Notre étude met en évidence plusieurs barrières à une bonne qualité de la prise en charge de la fin de vie et propose des solutions pour l'améliorer".
2 types de critères pourraient servir d'indicateurs de qualité : les uns concernant l'évaluation et le suivi du projet de fin de vie (désignation d'une personne référente et traçabilité des décisions dans le dossier médical) et les autres liés à la réappropriation du patient par ses proches au moment fatal (information des proches et présence lors du décès).
Michel Janva