Body positive #2 = love your size ! Vague n°2

Publié le 09 septembre 2013 par Lheureuseimparfaite @LImparfaite

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Et ça continue, deuxième tournée pour la Body positive attitude !

Contrairement à PG je ne me suis pas débarrassée de mes vieilles fringues dans une brocante :

"J’ai viré tous les cartons de l’époque « un jour, tu seras mince », tous les vêtements, jolis mais qui me mettaient mal à l’aise. Et, j’ai tout foutu à la brocante !",

mais directement dans les bennes de la croix rouge. Et je peux vous dire que ça libère une sacrée place dans mes armoires !

Allez je ne résite pas à l’envie d’une seconde citation de PG, certaine que ça vous parlera autant qu’à moi :

"Fini le sentimentalisme, finie la nostalgie.

J’ai décidé de vivre ici, maintenant, avec ce corps et cette nouvelle force positive qui l’habite !"

"Je ne choisis donc plus en fonction de ce qui est joli sur les autres (même si je continue de baver allègrement sur les looks de certaines copines !!!). J’oublie l’éducation des magazines du style « ronde, tu es, des talons, tu porteras » … Je n’achète plus de vêtements trop petits en me disant « oh, avec 1 ou 2 (ou 10) kilos en moins, ça ira … ». Je vise le confort avant tout."

En voilà des mots qui font un bien fou et on en redemande. Pas de culpabilisation normative, pas de jugement dévalorisant, mais au contraire un formidable encouragement à s’accepter et à être fière de celle que l’on est.

Attention, pas question non plus d’accepter tout et n’importe quoi non plus :

"il ne s’agit pas de vivre au pays des Bisounours en faisant abstraction de votre taille / poids. Non, il s’agit de prendre conscience de votre corps et de lui donner les meilleures chances de briller !"

Bon j’arrête de recopier le billet de PG, allez plutôt la lire ici. Et je continue avec ma petite contribution personnelle.

L’exercice n°2 était donc le suivant :

Donnez ! ou vendez ! ou jetez (en dernier recours) ! Mais séparez-vous, là, aujourd’hui, tout de suite, d’au moins 1 vêtement que vous gardez en « espérant qu’un jour … ».

Déjà fait ! Et vraiment contente de m’être délestée de toutes ces affaires trop petites, trop encombrantes, trop culpabilisantes, trop tournées vers le passé, … Toutes ces affaires qui ne sont plus moi, qui ne sont pas moi.