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“C’est sinistre, diabolique mais superbe et je ne crois pas retrouver pareille chose ailleurs” (Claude Monet parlant de la côte sauvage de Belle-île).
Arrivé en septembre 1886 pour un séjour de deux semaines, l’illustre impressionniste repartira 75 jours plus tard de Belle-île après y avoir peint 39 toiles dont les célèbres aiguilles de Port-Coton.
Depuis Port Goulphar, nous longeons la falaise en direction de ces aiguilles.
La côte est superbe. Au fur et à mesure que nous progressons, le spectacle offert à nos yeux évolue dans ses formes, dans ses couleurs.
Dans ce cadre unique, certains n’ont pu résister à la tentation. Je ne suis pas un grand amateur de baignade mais je dois avouer que là, ça fait quand même un peu envie.
Allez, on s’en va, sinon on va se laisser tenter…
Jusqu’à Port-Coton et à ses célèbres aiguilles, la beauté du littoral est à couper le souffle. Savez-vous que l’origine de ce nom est due à l’écume qui se forme à cet endroit dès que l’océan est agité et qui le fait ressembler à un amoncellement de coton ?
Ce n’est pas le cas aujourd’hui, loin de là.
Nous resterions des heures à contempler ces merveilles mais le temps passe et le dernier bus pour Le Palais ne va pas tarder, il ne s’agit pas de le manquer d’autant que nous souhaitons visiter cette ville avant de rentrer sur Quiberon.
On se retrouve là-bas ?
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