L’UFML rappelle qu’aux termes de l’avenant 8, la signature du CAS par au moins le TIERS des praticiens de Secteur 2 était une CONDITION SINE QUA NON de son entrée en vigueur, étant entendu que certains médecins S1 (« titrés ») pourraient y accéder UNE FOIS CELUI-CI MIS EN OEUVRE.
Le directeur de l’Assurance Maladie, en annonçant 8 611 signataires travestit une fois de plus la vérité. Plus de 3 000 étant en S1, ils ne peuvent dès lors être comptabilisés dans les 33 % PRÉALABLES (soit 8 200) à la mise en œuvre du Contrat d’Accès aux Soins.
Le CAS n’est donc pas, à cet instant, valable et signe l’échec de notre ministre et des syndicats signataires !
L’UFML salue la reconnaissance de la nécessité d’honoraires complémentaires face à des tarifs opposables sans rapport avec les pratiques et au plus bas de l’échelle européenne, mais dénonce la parcellisation de la profession et la négation de l’urgence réelle à revoir l’ensemble des tarifs opposables.
L’UFML rappelle son mot d’ordre « d’arrêt d’activité… et plus » le 02 12 2013.
Dr Jérôme Marty, Président de l’UFML
Source : Communiqué de presse du 3 octobre 2013
Union Française pour une Médecine Libre
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