Parfois, quittant le corps d’une bête, je retrouve le mien, Marie Boralevi

Par Fadingpaper

«Parfois, quittant le corps d’une bête, je retrouve le mien». Les estampes et les collages de Marie Boralevi fabriquent une humanité inquiétante, parfois macabre, surtout pulsionnelle

Présence empêchée Gravure, eau-forte, aquatinte, et pointe sèche sur papier Japon 62 gr. 40cmx50cm


Camisole Gravure, eau-forte, aquatinte, vernis mou et pointe sèche sur papier Japon 62 gr. 40cmx50cm





Plumes Collage, eau-forte, vernis mou, aquatinte et pointe sèche sur papier Japon 62gr. 40cmx50cm

Source: http://marieboralevi.fr