Petit, j’écoutais les albums du Velvet, sur un mini-K7, le soir sous les couvertures. Plus tard, Lou Reed a cotoyé mon adolescence, comme beaucoup d’entre nous. Collectionner ses disques, aller le voir en concerts, draguer les filles, danser avec les potes, passer des soirées entières à écouter Transformer, une vraie icône, indissociable des années 70. Alors ce soir, j’ai pris un sacré coup dans la gueule. Petit échantillon de ce que j’aime le plus. Et ce soir, dans les bureaux du Mouching, désertés, la musique va résonner, Lou Reed à fond la caisse, comme avant.