"Aucun d'entre vous ne pourrait faire ce que je fais."

Publié le 12 novembre 2013 par Yohanobody @yohanobody

Article Première.fr | Article original de GQ (en anglais)

En couverture du dernier numéro de GQ, dédiés aux "Hommes de l'Année 2013" dont font également partie - entre autres - Matthew McConaughey, Michael Douglas et le rappeur Kendrick Lamar, le chanteur devenu acteur se lâche contre les critiques qu'il appelle "haters", traduisible par "rageux".

Son dernier film Players, dont il partage l'affiche avec Ben Affleck, n'a pas vraiment fracassé le box-office et a été descendu en flèche par la critique. Le magazine Vanity Fair a même publié une tribune intitulée "Pourquoi Justin Timberlake doit arrêter le cinéma" tandis que chez Billboard, on lui suggère de "laisser sa moitié (Jessica Biel, ndlr)à la maison", ce qui le met dans une colère noire.

"D'où vient tout ce vitriol ? C'est mesquin ! Je ne suis pas taillé pour ça !" s'indigne la star de 32 ans, qui poursuit : "Le film ne s'en est pas bien sorti au box-office alors je devrais arrêter le cinéma ? Attends deux secondes. S'il s'agissait de quelqu'un d'autre, tu n'aurais pas dit ça. Mon album est le numéro un de la semaine mais je n'aurais pas dû le sortir ? Sérieux, mec, tu as l'air d'un abruti."


Et de s'en prendre aux médias, en général : "Aucune de vos opinions ne compte. Et d'ailleurs, aucun d'entre vous ne pourrait faire ce que je fais."


Une sortie mégalo à la Kanye West, que le fantasme adolescent de Jennifer Lawrence complète par une phrase assassine pour Memphis, Tennessee, la ville où il a grandi : "C'est une ville en crise avec une attitude défaitiste. Je viens de là-bas et j'ai grandi en suscitant beaucoup de rancune, c'est drôle que j'aie réussi à acquérir la patience nécessaire pour être gentil avec les personnes du show-business. Parce que parfois, j'ai juste envie de tuer tout le monde."