Je vais reprendre mes traductions et vous en proposer aujourdhuiune choisie dans les articles du PHYSICS WORLDWEEK 49
How to watch a Bose–Einstein condensate for a very long time
Active-feedback scheme could preserve fragile state of matter
"UnBEC est créé en enfermant un gaz atomique dans un piège magnétique par le refroidissement du gaz à des températures de l’ordre du nanokelvin. Cela induit pour tous les atomes ( parfois des dizaines de milliers ) à s'installer dans un seul état quantique cohérent . Lorsque cela se produit , le produit de condensation est alors un système macroscopique qui est décrit par la même fonction d'onde . Les BEC peuvent alors être étudiés pour acquérir de nouvelles informations sur la mécanique quantique ou chercher à être utilisés pour créer des dispositifs pratiques tels que les horloges atomiques ou des accéléromètres très sensibles qui pourraient être utilisés pour la navigation et d'autres applications .
Un défi important pour tous ceux qui essaient de créer et d'utiliser un BEC est que la cohérence quantique s'étendant sur des milliers d'atomes ultrafroids se révèle extrêmement fragile et la moindre perturbation peut détruire le BEC . Il est donc difficile de contrôler les propriétés d' un produit de condensation une fois que cela a été fait . En effet , la plupart des expériences impliquent de prendre une seule image d'un BEC , etqui le détruit. D'autres méthodes ne permettentde surveiller le BEC que pendant quelques secondes , mais le développement de techniques pour surveiller un BEC sur des périodes de temps plus longues reste difficile .
Une évaporation inattendue
Une voie prometteuse d'imagerie pour un un BEC est d'utiliser une lumière " hors résonance " –c est à dire unelumière d’ une fréquence qui ne correspond pas aux transitions atomiques dans le condensat .Comme cette lumière ne sera pas fortement absorbée par le BEC , elle ne devrait pas causer beaucoup de perturbations - du moins en principe . En pratique, cependant , les physiciens ont découvert que les BEC peuvent aussi s'évaporer rapidement lorsqu'ils sont exposés à la lumière hors résonance
, Michael HUSH de l'Université de Nottingham en collaboration avec ses collègues de l' Université du Queensland et de l'Université nationale australienne ont mis au point de nouvelles techniques de modélisation informatique qui offrent de nouvelles perspectives sur la façon dont un BEC interagit avec la lumière utilisée pour une telle imagerie. Cette nouvelle information a inspiré l'équipe pour créer un nouveau protocole qui - si ellese montre efficaceau laboratoire - pourrait permettre de prendre plusieurs images à plus de quelques minutes d’intervalle ou même indéfiniment .
Les simulations nous permettent de voir les effets de réchauffage desBEC que d'autres n'avaient pas prévu ? DIT IL
Pour mieux comprendre comment interagissent les bec avec la lumière , HUSH et ses collègues ont utilisé une technique de simulation appelé " filtre à particules ànombre phase de Wigner ( SNP ) " . ( c’est une hybridation ) entre la techniquequi se réfère à la représentation de l'espace des phases duBEC utilisé dans les calculs , et un filtre à particules qui est une technique numérique qui fournit une estimation optimale de l'état quantique du BEC . «Les simulations nous permettent alors de voir les effets de réchauffage que d'autres n'avaient pas prévu », dit HUSH . «Ces effets pourraient être la cause de la perte d’ atomes quand un BEC est imagé , " at-il ajouté .
SAVOIR amortir les vibrations
Armé de ces nouvelles connaissances , les chercheurs ont développé un système de rétroaction pour éliminer cette chaleur (voir figure) . Dans leur système , le BEC sera « baigné »dans une onde stationnaire de la lumière hors résonance , qui serait utilisée pour surveiller sa densité . La chaleur absorbée de la lumière provoque la vibration des atomes dans le BEC et ces vibrations seraient détectés par la lumière . Un système de rétroaction utiliserait cette information pour ajuster les paramètres du piège magnétique, de sorte que ces vibrations seraient atténuées . Bien que le système n'a pas encore été testé , HUSH espère qu'il pourrait être mis en œuvre au laboratoire .
Jacob Sherson de l'Université d'Aarhus au Danemark , qui n'était pas impliqué dans la recherche, a décrit le travail comme " une grande contribution dans le domaine " , en disant qu’en tant qu’expérimentateur il aimerait mettre en œuvre les idées dans le labo . Alors que Scherson souligne que certains défis expérimentaux devront être surmontés pour mettre en œuvre le protocole , il ajoute qu'il est « convaincu que les idées avancées [ par HUSH et collègues ] peuvent aider à prolonger la durée pendant laquelle les BEC peuvent être surveillés " .
La recherche est signalé à New Journal of Physics .À propos de l'auteur Hamish Johnston est l'éditeur du physicsworld.com
MON COMMENTAIRE
Il sera sévère car
1 : Tester par un « bain de radiations non résonantes » ne déformera-t-il pas les fréquences propres de vibration duBEC ?C’est un procédé de Normand ! « j’y va t’y ?j’y vat’y pas ? P’et ben qu’oui ; p’tet ben qu’non ???
2 :Pourquoi publier sur ARXIVet surPHYSICS WORLD avant d’avoir « réussi » la manip POUR DE BON !?Hush crois-t-il vraiment son idée si géniale qu’il en parle avant d’en montrerl’efficacité ????
3 :En ce moment l’étude des BEC est à la mode /triste anticipation de physiciens ambitieux peut-être …..
L’ARTICLE SUIVANT SUR UNE NOUVELLE FACON DE JUGER LES INTERFERENCES DE DOUBLE FENTE LUMINEUSE a déclenché un tel torrent de contestations dans le forum des commentaires des physiciens que je vous engageà le lire en anglais( si vous êtes physicien !)
Physicists ask photons 'Where have you been?'
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Bizarre behaviour evokes unconventional interpretation of quantum theory
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cliquer sur ce qui reste !
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High-frequency beats could improve cell efficiency
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New theory casts shadow on dark-matter origin of positrons
pour moi cet excès de positrons est une fausse interpretation des manips