Journée presque perdue, mais…

Par Eric Mccomber










Ces salauds de nazis. Si l'amiral Doenitz avait attendu une journée de plus pour signer la capitulation de l'Allemagne du Troisième Reich, c'est le 9 mai qui serait une journée fériée, et je n'aurais pas perdu mon temps à rouler 50 km dans les collines en cherchant une banque pour déposer mon ti-chèque. Enfin. Je suppose qu'il ne sert à rien de protester auprès des autorités et qu'il est préférable de faire comme j'ai fait, contre mauvaise fortune bon cœur. Puis, ce qui me réjouit, au fond, après un pareil après-midi gaspillé, c'est d'imposer à mes pauvres amis lecteurs une autre flopée de photos quétaines et baba-cools. Hon, hon… J'ai pleuré en écrivant cette toune, faites-moi un procès si vous trouvez le solo trop long (Steely Dan).
Vingt-heures trente, le vieux rocker se couche. Hi hi hi… J'ai calé un horrîîîble petit rouge en honneur de l'amiral Doenitz. Ouh ! Ça pue dans ma tente. C'est le temps d'un papier d'Arménie ou deux. Uhm… Uhm…© Éric McComber