Contes pervers, Régine Desforges

Par Maliae

Résumé : Paillards ou mystiques, tragiques ou comiques, ces Contes pervers, un des trop rares ouvrages érotiques écrits par une femme, nous emmènent de Hong Kong à Paris, d’Athènes aux Antilles, en Italie ou dans la Forêt Noire.
Une seule loi les régit : une sensualité libre et débridée.

Avis : J’ai abandonné ce livre au bout de trois contes, je vous présente mon avis sur chacun et je ferai un avis plus général ensuite.

Made in Hong Kong : un type collectionne des phallus (des gods quoi) et une femme se vend pour jouer (parce que c’est une fan de jeu). J’ai un peu ouvert la bouche comme ça ‘O’ quand elle se transforme en objet sous les mains des chinois et … aime ça…  C’est carrément WTF. Je ne sais pas ce qu’il fallait  comprendre à cette histoire "fais toi violer et tu te sentiras heureuse en repartant de chine"? Allez savoir.

Le placard aux balais : une prof se tappe son élève dans un placard en se souvenant du bon vieux temps. Du cul, pas d’histoire.

Le milan noir : et celle là j’ai rien capté, sauf qu’une femme se fait violer mais que bon oh elle se tappe ensuite un garçon quand même pas de soucis. Bref, je suis même pas allée jusqu’au bout tellement j’étais écoeuré.

C’est même pas tant les scènes de cul qui m’ont dérangé, c’est très soft finalement, à peine décrit (c’est bien de l’érotisme, pas du porno). Néanmoins je ne voyais pas l’intérêt des histoires, elles ne sont pas là pour raconter quelque chose mais juste pour montrer des personnages qui baisent et qui aiment ça (tant mieux pour eux sauf que lire ça moi ça me saoule). Ensuite j’aimais pas comment la femme était traité, qu’une femme se fasse violer puis finalement se dise "oh c’est chouette" euh ouais là ça me pose clairement problème…
Bref a vomir !
Et maintenant ça y est j’ai lu mon livre érotique, en tout cas j’ai lu deux contes et demi et ça me suffit pour laisser tomber le genre. Ca ne m’intéresse pas, ça ne me donne pas envie, ça ne m’excite pas non plus. Je ne trouve aucun intérêt à lire ce genre de trucs, ce n’est clairement pas pour moi. Et on pourrait me pondre la plus belle histoire d’amour qui soit, que  je ne trouverais toujours pas d’intérêt à lire la scène de cul des personnages. Alors je zappe.

Mon ressenti :

Challenge :
FINI