misère...

Par Plouf
Misérable réduit aux odeurs incertaines,
Misérables mes nuits sourdes de mes silences
quand ce qui t'est promis est fait pour te détruire!
Ivre de tes sourires, tes folles espérances,
je suis las,atterré de ton indifférence;
et si je suis statue, à quoi bon exister!
nul parmi les miens comprend mon existence
tout baigne, tout se hurle ,c'est fort déplaisant.
Hélas on ne peut vivre dans cette déshérence!
Je savoure l'instant, je maîtrise l'effort,
j"accepte ton amour comme nouvelle chance,
Car tu sais comme je t'aime, je te le dis encore