Jean-Louis Riguet obtient un article dans La République du Centre

Par Dedicaces @Dedicaces

L’auteur Jean-Louis Riguet vient tout juste d’obtenir un article de presse dans le quotidien La République du Centre, en France, pour son dernier livre intitulé "L’association des bouts de lignes", publié aux éditions du Masque d’Or (collection Adrénaline).

Voici ce que la journaliste Chantal Machicoane écrit à ce propos : "Mais où diable maître Jean-Louis Riguet a-t-il trouvé tout cela !? Ce notaire orléanais, Poitevin d’origine, Hilairois d’adoption et exerçant sa profession depuis des décennies, est débordant d’imagination. Et c’est avec délectation, et d’un trait, que se lit son deuxième roman, publié en octobre dernier : L’association des bouts de lignes, aux éditions du Masque d’Or. "Il s’agit d’un roman d’investigation fantaisiste, une enquête humoristique, un voyage dans l’Orléanais", explique Jean-Louis Riguet. Sympathique et humble, l’auteur a décroché avec ce livre le prix Scriborom 2013 du roman. Jean-Louis Riguet est membre de la Société des Gens de Lettres et sociétaire de la Maison de l’Ecrivain et de la Littérature."

Vous pouvez cliquer sur l’image pour télécharger l’article de presse au format JPEG.

Augustin, ma bataille de Loigny

Nous vous rappelons que Jean-Louis Riguet a aussi publié aux Éditions Dédicaces son tout premier roman intitulé "Augustin, ma bataille de Loigny", dont voici le résumé :

1870, Loigny la Bataille. La guerre franco-prussienne fait rage. En décembre, Loigny la Bataille est le théâtre d’une bataille meurtrière. Le Château de Villeprévost, réquisitionné par les bavarois, est transformé en hôpital de campagne. Les Prussiens se sont, côté nord, déployés de La Maladrerie à Lumeau en passant par Fougeu, Beauvilliers, Goury. Côté sud, les Français font front sur Nonneville, Villepion, Villours, Faverolles, Terre Rouge. Au milieu de ces deux lignes : Loigny est prise en étau. La bataille dans Loigny se fait pour une rue, un passage, une impasse, un quartier, une maison, une cave, pour rien. On se bat, c’est tout. Il faut avancer, ne pas reculer, mourir s’il le faut. Cela fait quand même en une seule journée environ 15000 victimes, soit environ 100 par kilomètre carré. … Quand même… une victime par cent mètres carrés !

L’ancien régisseur, Augustin, vit avec les siens au château cet épisode guerrier de l’histoire locale. Sa petite fille adoptive rencontrera-t-elle l’amour ? S’en sortiront-ils ?

Jean-Louis Riguet est membre du Bottin international des professionnels du livre.


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