Tribulations d'une étrangère d'origine au Lucernaire vite.... EliZabeth Mazev François Berreur

Publié le 23 janvier 2014 par Nathpass
Soir de première.
La loge au Lucernaire, à coté du Paradis, c est dire...
Elle est belle cette photo entre présence et absence mais si on regarde bien dans la glace... Bon ce message est pour mes nièces adorées (mon neveu est à l'autre bout du monde il est en train de devenir "étranger d'origine" )et leurs Copines copains : il faut aller voir Les tribulations d'un étrangère d'origine.... et si vos pères votre mère pouvaient venir et vos grand mères votre grand-père oui Mamie et bien-sur Setrak ensemble avec Yaya Dédé au théâtre, c'est un spectacle qui tombe à pic.... C'est pas une Série quoique !!! Il y a eu un autre spectacle il y a longtemps.... et TOi toi Virginie ma grande voyageuse...
http://www.lucernaire.fr/beta1/index.php?option=com_content&task=view&id=1574&Itemid=52
S/FB avant de me coucher j'ai posté cela vite et mal....
En sortant de la 1ère Philippe m'a demandé ça va ? et comme il me connaît depuis un petit bout de temps, je lui ai dit presqu'en criant : Non ! -et pourquoi ? a t'il répondu -parce que c'est fini !
Bien-sûr, après on a parlé avec Sylvie, avec aussi encore Christine, dans l'émotion puis avec l'actrice-auteur, mais il n'empêche que c'était quand même toujours fini... Courrez-y vite le titre en dit long mais il est court, en suspends, c'est digne,(il manquerait plus que ça ne le soit pas) c'est élégant ; c'est mieux qu'un roman, un monologue de cette trempe et de cette gravité, à la fois ça vous touche au plus large.... Élizabeth Mazev, je la connais depuis de si loin et pourtant elle m'est proche comme un peu Charlot et Giuletta ou Nini Mercier ou Yolande Moreau.., Pauline Carton ou Zouc oui y a un petit de lui et d'elles et pas seulement. A la fin on se croit où ? on en reprend plein ses valises... La mise en scène est invisible et pourtant elle porte la musique la lumière l'âme la chair les mots et les gestes. On rêve on rit on pleure et on sent la douceur d'un grain de peau celui d'une grand mère qu'on adorait. La poétique du théâtre c'est quand jamais on s'appesantit.... Merci à vous de Vous Élisabeth et sa maman sa grand-mère les cousines des jumelles et Olivier au torticolis et aussi beaucoup à François pour la mise en scène.
-je viens de m'apercevoir que dans le post d'origine j'ai fait une faute à son prénom et cela m'a fait mal au cœur alors qu'il s'agit que de mémoire....