American Movies: La brochette de la semaine

Par Unebordelaiseflane

Une semaine au cinéma… Ca faisait longtemps!
J’en avais parlé mais il est indispensable de replacer les choix de séances dans leur contexte : j’ai perdu un pari contre Brendon et, par conséquent, je n’avais pas mon mot à dire sur les 5 prochains films que nous allions voir… Je ne l’appelle pas Brendon pour rien vous en conviendrez, il aime les american movies.
- La première séance a été perdue pour le remake de Robocop.
Je n’étais pas réfractaire car j’avais franchement aimé l’original, qui avait même réussi à m’arracher une larme. Hélas, rien de bien nouveau dans cette tentative qui n’a d’intérêt que l’évolution technologique – on y perd clairement l’attachement à cet individu mi-homme, mi-machine. Avis final: Bof
- Ensuite, j’ai malheureusement dû subir « I, Frankeinstein ». Mais que fait donc Aaron Eckhart dans ce navet ? Un Frankeinstein qui grogne mais que des gargouilles décident de sauver mettant en péril l’Humanité toute entière. Avis: Ridicule et à éviter.
- The Ryan Initiative est un film conforme aux attentes : du rythme, des flingues, des méchants … Un film à popcorn où l’on pose le cerveau et où l’on apprécie l’action. Ryan est un petit génie avec le gêne du patriote en guise d’arbitrage. Une qualité qui n’échappera pas à la CIA et qui en fera un atout de choc pour identifier les manœuvres financières de grands bandits ; russes les bandits hein. On se demanderait presque si la sortie du film en parallèle des JO est une coïncidence. Sympathique.

Ca rigole pas la sécurité nationale!

- Enfin (et heureusement), un très bon moment avec American Bluff dont le casting nous assurait déjà d’en prendre plein les yeux ; le style, les costumes et les attitudes finissent de nous bluffer. Un démarrage long et lent qui fait ensuite place à un thriller génial où ceux qui en parlent le moins sont ceux qui s’en sortent le mieux. Christian Bale et Amy Adams en escrocs de choc. Avis: Bien aimé. Allez-y, même si en 1h45, ça l’aurait fait aussi.

Les années 70; c’était aussi ça!

Je ne dois plus parier, je sais…