Doux et tranquille, Monsieur To nous offre une balade dans un cœur amoureux avec tout le brio qu’on lui connaît quand il s’attèle aux histoires d’amour. Ses strips parlent le langage des amoureux, langue universelle et connue de tous ; ses cases sont de la couleur des sentiments, cotonneuses et apaisantes tout à la fois ; ses personnages sont ronds et charmants, souriants et rieurs, comme seuls le sont ceux qui aiment. Dans ces pages de rêveries, chacun reconnaîtra un peu de ses songes, chacun reconnaîtra ses propres niaiseries émouvantes, chacun reconnaîtra ses béatitudes réconfortantes. Là tout le génie de Monsieur To et Marlène aux couleurs : traduire avec une exactitude spontanée et pourtant fort précise ce cortège d’impressions sensibles pourtant si approximatif et si différent en le cœur de chacun. Et c’est sûrement parce que Monsieur To s’est attelé à montrer l’amour dans toute sa naïveté que le résultat final s’en trouve, loin d’être naïf, d’une touchante innocence. Ecrire un rêve est un prodige, le dessiner est un exploit, retranscrire le rêve amoureux sans dire un mot, là tout le génie de ceux qui savent immortaliser l’air empli de ce baudelérien « frissons des choses qui s’enfuient ».Soakette.
Doux et tranquille, Monsieur To nous offre une balade dans un cœur amoureux avec tout le brio qu’on lui connaît quand il s’attèle aux histoires d’amour. Ses strips parlent le langage des amoureux, langue universelle et connue de tous ; ses cases sont de la couleur des sentiments, cotonneuses et apaisantes tout à la fois ; ses personnages sont ronds et charmants, souriants et rieurs, comme seuls le sont ceux qui aiment. Dans ces pages de rêveries, chacun reconnaîtra un peu de ses songes, chacun reconnaîtra ses propres niaiseries émouvantes, chacun reconnaîtra ses béatitudes réconfortantes. Là tout le génie de Monsieur To et Marlène aux couleurs : traduire avec une exactitude spontanée et pourtant fort précise ce cortège d’impressions sensibles pourtant si approximatif et si différent en le cœur de chacun. Et c’est sûrement parce que Monsieur To s’est attelé à montrer l’amour dans toute sa naïveté que le résultat final s’en trouve, loin d’être naïf, d’une touchante innocence. Ecrire un rêve est un prodige, le dessiner est un exploit, retranscrire le rêve amoureux sans dire un mot, là tout le génie de ceux qui savent immortaliser l’air empli de ce baudelérien « frissons des choses qui s’enfuient ».Soakette.