Pour Svoboda et les nouveaux maîtres auto-déclarés de Kiev, qui ne réussissent à masquer ni leur antisémitisme ni leurs origines fascistes, tout est bon pour une «dé-soviétisation» de l’Ukraine, y compris un rapprochement avec une UE impuissante, prête à tous les compromis mais trop heureuse de pouvoir jouer le rôle très subalterne quoique déstabilisant de "miroir aux alouettes".