{Lyon} Le parc de la tête d’or

Par Alittlepieceof @Alittle_piece

Photo by D.

Le parc de la Tête d’Or était pour moi un incontournable de Lyon. Il était impensable que je n’aille pas y faire un tour. D’autant que l’on nous en avait dit que du bien !
En effet, c’est un très très beau parc, qui m’a fait penser à ceux que j’ai parcouru à Londres. Malheureusement, la météo n’a été de notre côté et surtout, pas moyen de trouver les animaux ! Aujourd’hui encore impossible de comprendre pourquoi !

Le parc de la Tête d’Or a été conçu sur le modèle du jardin anglais. Il intègre un lac de 16 hectares créé à partir d’un bras du Rhône ainsi qu’un parc zoologique et un jardin botanique.
Situé sur les bords du Rhône, le Parc de la Tête d’Or couvre une superficie de 105 hectares.
On y pénètre par 7 entrées, dont la plus remarquable est la porte des Enfants du Rhône qui ouvre sur la perspective d’un lac de 16 hectares, centre de la composition paysagère.
L’été le parc doit être pris d’assaut pour les pique-nique et les après-midi en famille.

Compte tenu de la météo nous avons surtout profité des nombreuses serres présentes dans le parc.
Le jardin botanique de Lyon est un musée vivant abritant la diversité végétale de notre planète. On y trouve différentes collections : carnivores, orchidées, passiflores etc.) réparties sur 8 hectares dont 6 500 m² de serres. Il abrite environ 16 000 espèces.

Le Jardin Botanique

 

Photo by D.

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Photo by D. Le parc aux daims

 Le petit écureuil qui jouait à Spiderman

On trouve également un Jardin Zoologique dans l’enceinte du parc. C’est principalement pour cela que nous nous y rendions. Ce parc est gratuit, une aubaine ! Mais encore fallait-il le trouver ! Et malgré le plan, que nous avons suivi à la lettre impossible de mettre la maison sur les animaux !
C’est certainement la pluie qui a commencé à tomber vivement, nous forçant à rebrousser chemin qui nous a empêché de le trouver. Nous avons simplement pu voir les girafes, dont deux petits girafons tout mignons.
Cette belle balade me laisse donc un petit goût d’inachevé. Il me faudra y retourner