Dans cette étude, le professeur Di Matteo conclut que pour maximiser la croissance économique, la participation du gouvernement dans l’économie ne doit pas excéder 26 %. Initialement, l’amélioration du système d’éducation et de santé, des infrastructures, de la sécurité, etc. favorise la croissance économique. Toutefois, au-delà de 26 % la courbe de croissance, appelée la courbe de Scully, redescend rapidement.
Au Québec, les trois niveaux de gouvernement contrôlent près de 50 % de l’économie. Dans ces conditions, il n’est pas surprenant que le Québec traîne dans le peloton de queue des économies nord-américaine.
Adrien Pouliot, chef du parti conservateur du Québec dénonce cette situation déplorable.