Le vieux monsieur, Alzheimer et le chien

Publié le 25 avril 2014 par Didier Vincent

Si anthropologiquement c'est pas top (discours ragnagna sur le fait qu'on humanise à tort l'animal), humainement, ça l'est. C'est bien là l'essentiel. Si une présence animale est un réconfort pour un malade, une présence dans la nébuleuse solitude sociale engendrée, par Alzheimer, que valent ces discours prétentieux à côté ? Que veulent-ils dirent ces donneurs de leçons insensibles à cette "humanisation" des bêtes ? Alors tous ces discours pseudo rationnels : poubelle. Ils ne pèsent rien à côté de ce genre d'images. Rien.