« Enfants de Coligny, pourriez-vous être amis des rois ? » – Le calvinisme à l’épreuve de la Révolution française

Par Monarchomaque

Boissy d’Anglas saluant la tête du député Féraud (20 mai 1795), par Alexandre-Évariste Fragonard, 1831.

Rabaut St-Étienne, par Jacques-Louis David, 1791.

Alba-Lasource, dans Louis Blanc, Histoire de la Révolution française, Langlois & Leclercq, 1847.

Buste de Boissy d’Anglas, Musée de la Salle du jeu de paume, Versailles.

View this document on Scribd

« Les élections ne doivent jamais avoir lieu excepté si Dieu préside au-dessus d’elles par son Saint-Esprit ! »
— Jean Calvin, 1583 (publication post-mortem)

« Le clergé n’est pas la nation ; il est le clergé. […] La noblesse n’est pas la nation, mais la partie décorée de la nation. […] Il est évident que le Tiers-État est la nation, moins la noblesse et le clergé. »
— Rabaut Saint-Étienne, 1789

« Il faut que Paris soit réduit à un quatre-vingt-troisième d’influence comme chacun des départements. »
— Alba-Lasource, 1793

« C’est le jour de vengeance et nous l’attendons depuis plus de cent ans. »
— Jeanbon St-André, 1793

« Comme Jérusalem, Paris a tué les prophètes. »
— Jules Bonnet, 1889