Touche pas à ma caserne

Vendredi soir dans ma ville. Organisation par les élus locaux d'une manifestation en faveur du maintien dans la cité d'un régiment. 1 000 personnes ont participé. Marche silencieuse amorcée par allocutions d'élus de droite et de gauche.

Un député maire qui se veut mobilisant et rassurateur (ou mobilisateur et rassurant), sénateur et président du département qui scandent l'union des forces, et cette info : en France, 4 régiments seraient “repêchés”. Comme de bien entendu, celui de ma ville en serait. Ca tombe bien

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