Pourquoi le shampooing Rahua a-t-il tant de fans ?

Publié le 28 mai 2014 par Ecocentric

Il est partout, tout le monde en parle : les stars, les journalistes beauté du monde entier (il est encore dans ELLE ce mois-ci), les beautytistas, les bio-addicts... mais qu'a-t-il de plus qu'un autre shampooing bio ?
La première chose c'est qu'il a de quoi ne pas laisser indifférent !
Déjà son prix : 32€ les 275 ml. On est loin des prix de marques de luxe comme Leonor Greyl (pas du tout bio ou certifiable comme pourrait le laisser penser leur slogan "Soin naturel du cheveu") mais ça fait tout de même presque 2 fois plus cher qu'un shampooing Kerastase. Ce n'est donc pas à la portée de toutes les bourses même si une toute petite quantité de shampooing est suffisante ce qui fait que le flacon dure longtemps.
Ensuite son odeur à la fois résineuse et florale: la fameuse huile essentielle de Palo Santo qui parfume tous les produits de la marque Rahua. La plante dont elle est extraite est Bursera graveolens. Une plante guérisseuse de la famille de la myrrhe, l’une des plus importante de la médecine traditionnelle Sud-américaine. Utilisée en méditation et relaxation, elle est réputée pour être calmante, antalgique, anti-inflammatoire et régulatrice du système nerveu. L'huile essentielle de Palo Santo calme en effet toutes les manifestations inflammatoires : irritations, démangeaisons, etc. On voit tout de suite le plus pour le cuir chevelu ! Et honnêtement l'odeur n'est pas désagréable, elle est surprenante certes car c'est quelque chose de nouveau pour nous mais on s'y habitue (j'en connais même qui ne peuvent plus s'en passer) et en plus elle ne reste pas sur les cheveux après le shampooing, donc...
Et enfin, sinon je ne vous en parlerai pas aujourd'hui, son efficacité hors du commun grâce à sa composition irréprochable où l'on retrouve en quantité du thé vert, de la framboise, de l'aloe vera et bien entendu de l'huile d'ungurahua. Cette huile précieuse d'amazonie, signature de la marque Rahua et à l'originie de son nom.
Les marocaines ont l'huile d'argan, les amérindiennes ont l'huile d'ungurahua. Tout est dit ! A la différence que l'huile dont on parle ici est encore plus fine et pénètre d'avantage dans la fibre capillaire pour la nourrir et la réparer.
Du coup qu'on n'aime pas l'odeur ou son prix, on en fait vite abstraction et on en devient accroc comme toutes celles et ceux qui l'ont essayé. Et pour les sceptiques il existe en format voyage pour le tester sans trop s'engager.
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