Je suis resté stoïque et je me suis rappelée que dans ce genre de duel, il faut un perdant et un gagnant ; alors, quand les carottes sont cuites et que vous perdez, autant être vraiment très, très gracieux et prendre les choses avec un beau sourire et beaucoup de fair-play. En fait, vous ne pouvez jamais être trop aimable.
Pour moi, c'est une façon détournée mais très astucieuse de voler un gros morceau de la victoire au vainqueur. L'inverse est tout aussi vrai, car être un mauvais perdant a toujours pour effet de donner des ailes au parti victorieux. De cette façon, quand on perd, on limite la casse en pêchant par un débordement de bonté et de fair-play !