Dans le quartier des Eaux-Vives rares sont les endroits susceptibles d’accueillir des graffitis. Pas de pont, pas de passage souterrain, pas de tunnel non plus. C’est une zone urbaine où les bâtiments et les commerces s’enchaînent sans fin. Pas un seul endroit public pour s’exprimer. Nous savons tous que le graffiti est un art éphémère et pour la postérité voici un autre témoignage du photographe-admirateur. Je termine par cette citation extraite du livre “Ecoute la pluie” de Michèle Lesbre: “Je me suis souvenu d'un graffiti aperçu sur un mur, Devant l'indifférence générale, demain est annulé.”
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Et demain est un autre jour!