Ces corps inhabités de tant d’entre nous aujourd’hui, qui, à défaut d’entrer dans la résonance pour laquelle ils étaient créés, vont se rouiller, se déglinguer, perdre le souvenir de ce qu’ils sont.
Pourtant, nous le savons tous, la mémoire du corps est la plus profonde..."
Extrait de "La leçon de violon" p.130