Supertramp #6-It Was The Best Of Times-1999

Publié le 23 septembre 2014 par Numfar

Supertramp #6:

Rick Davies: chant, claviers

Bob Siebenberg: batterie

John Anthony Helliwell: saxophone

Mark Hart: chant, guitare, claviers

Carl Verheyen: guitare

Cliff Hugo: basse

Lee Thornburg: trombone, trompette

Jesse Siebenberg: percussions

En septembre 1997, le Supertramp big band donne plusieurs concerts au Royal Albert Hall de Londres.

En avril 1999, un double album live tiré de ces concerts est publié: "It Was The Best Of Times" (#91 UK), produit par Rick Davies.

It's a hard world (Rick Davies)

You win I lose(Rick Davies)

Listen to me please(Rick Davies)

Ain't nobody but me (R.Davies-R.Hodgson)

Sooner or later (R.Davies-M.Hart)

Free as a bird(Rick Davies)

Cannonball(Rick Davies)

From now on (R.Davies-R.Hodgson)

Breakfast in America (R.Davies-R.Hodgson)

Give me a chance (R.Davies-M.Hart)

Rudy (R.Davies-R.Hodgson)

Downstream(R.Davies-R.Hodgson)

Another man's woman(R.Davies-R.Hodgson)

Take the long way home(R.Davies-R.Hodgson)

Bloody well right(R.Davies-R.Hodgson)

The logical song(R.Davies-R.Hodgson)

Goodbye stranger(R.Davies-R.Hodgson)

School(R.Davies-R.Hodgson)

And the light (Rick Davies)

Don't you lie to me (Whittaker)

Crime of the century(R.Davies-R.Hodgson)

Etonnament, j'aime bien ce double live qui redore un poil le blason de Supertramp.

Si l'on écarte les compositions récentes, les reprises du Supertramp classique sont excellentes et le choix général des chansons est très bon.

J'aurais peut-être aimé un "Brother where you bound" live, mais je suis déjà content de voir que le groupe se souvient  de "Another man's woman", l'un de mes titres favoris.

Mêmes les titres récents (It's a hard world, You win I lose) sont meilleurs, plus nerveux que sur l'album que j'ai toujours trouvé un peu mollasson.

On peut contester l'utilisation abusive des tubes composés par Roger Hodgson (Breakfast in America, Take the long way home, The logical song, School), chantés par Mark Hart. Pour moi, c'est autant un aveu de faiblesse de Rick Davies qu'une tentative désespérée pour le groupe de ratisser un public plus large.

Alors oui, je conseille ce double live aux fans, même ceux qui, avec raison, ne se sont pas intéressés au Supertramp Big Band.

Dommage qu'ils ne se soient pas arrêtés là...

© Pascal Schlaefli

Urba City

23 septembre 2014

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