Listen (8×04)

Publié le 24 septembre 2014 par Bigreblog

Coucou les Bigronautes!

Je sais, ceux et celles qui parmi vous suivent Doctor Who doivent avoir envie de me balancer des baffes pour n’avoir pas regardé cet épisode avant. Pour être parfaitement honnête, j’ai donc zappé les deux derniers épisodes, non pas volontairement, mais parce que la petite famille n’est plus trop fan de la série depuis un petit temps (Maman avait totalement accroché sur Eleven, donc elle aussi a du mal avec Twelve).

Mais me voici, et j’ai ENFIN regardé Listen, et je ne comprends pas pourquoi tout le monde considère que c’est un super épisode.

Moi, à part l’apparition providentielle de John Hurt, j’ai pas trop kiffé. La faute, sans doute, à mon allergie à Clara.

Evidemment, est-il nécessaire de le dire encore, spoilers alert.

Listen, ça raconte donc la fameuse légende du monstre sous le lit. Pourquoi au juste parle-t-on tout seul si on est justement sûrs d’être seuls? Pourquoi nous réveillons-nous la nuit en étant persuadé qu’il y a quelqu’un sous notre lit? Autant de questions que chaque enfant a dû se poser, et que Twelve, grand enfant qu’il est, veut à tout prix élucider.

Il arrache donc sa Clara chérie à son rendez-vous galant d’avec Danny Pink, le professeur de maths un peu trop timide sur les bords.

Et on découvre donc la toute nouvelle application du TARDIS: le lien psychique. Branchez vos doigts dans un truc gluant et BAM! elle vous emmène où et quand vous pensez.

WHAAAAAT?

Euh, Moffster, excuse-moi bien, mais depuis QUAND le TARDIS a-t-il une fonction pareille? Tu crois pas que ça aurait été légèrement plus simple pour Rose d’aller sauver Nine s’il y avait eu une interface pareille, au lieu de devoir arracher la console?

Il a bien tenté de nous expliquer…

Duh, dans ces moments-là, j’ai des envies de meurtre.

J’ai aussi des envies de meurtre quand un épisode ne se base quasi QUE sur Clara et ses amours. J’EN AI RIEN A BATTRE!

(Oui, je déteste toujours autant Clara, ça n’a pas changé en une semaine de temps.)

En soi, l’idée de base de l’épisode n’était pas si mal. Oui, qu’est-ce qui se cache au juste sous nos lits?

Pas des câlins en tout cas…Twelve les déteste toujours autant…

Mais voilà… On ne le saura pas. Non, parce que cet imbécile de Twelve n’a pas cru bon de nous en informer. Super. Merci d’être passé et de nous avoir fait perdre notre temps.

Le seul moment chouette, en fait, c’est lorsqu’on se retrouve sur Gallifrey et que l’on comprend que le Doctor a un peu beaucoup peur du noir et qu’il passe ses nuits d’enfant dans une grange à pleurer. Et là, faut que Clara m’explique un truc.

Elle lui dit: "Quand tu reviendras dans cette grange, tu auras peur, mais c’est bien d’avoir peur." Et là, on voit John Hurt en War Doctor au début de l’épisode spécial 50 ans (mon moi-même était très heureux à ce moment-là).

Alors: savait-elle que c’était la même grange, ou faisait-elle référence au Doc assommé dans le TARDIS derrière elle? oO

Bref, voilà, cet épisode ne m’aura pas transcendée. Moffster, je ne vous salue pas. Plotholes, plotholes everywhere comme dirait le meme.