Un mois, une marque : Haribo (cadeau inside)

Publié le 23 octobre 2014 par Kfjznefzirz

Bientôt 100 ans et toutes ses dents. En 2020, Haribo fêtera ses 100 bougies et ravira bientôt une 5e génération de petits gourmands. La marque allemande, qui trouve son origine dans le nom de son créateur (HAns RIgel) et dans la ville où elle est née (BOnn), n’a cependant mis un pied en France qu’en 1967. A l’époque, les premières livraisons effectuées en vélo par la femme du créateur sont déjà loin et l’entreprise s’est bien développée en Allemagne, en Autriche et aux Pays-Bas avant de s’intéresser à Marseille. Là-bas, elle a rachèté une petite réglisserie, fusionnée 20 ans plus tard avec une autre confiserie : Ricqlès Zan, pour devenir le Haribo France d’aujourd’hui.

Haribo est né en Allemagne en 1920. La marque de confiserie ne mettra un pied en France que 47 ans après sa création.

1/3 du CA des confiseries en GMS

C’est de ces deux usines du Sud-Est que proviennent 50 000 tonnes de bonbons, soit une bonne partie des confiseries Haribo vendues en France. Une usine près de Gironne, en Espagne, fournit le complément. En peu de temps, la marque est devenue leader des confiseries avec 40 % du marché en volume et plus d’un tiers du chiffre d’affaires. Derrière elle, Mondelez (20 %), Lutti (13 %), et les MDD (11 %). L’entreprise connait une croissance à deux chiffres depuis plus de 5 ans. « Cette dynamique s’explique pour les trois quarts par notre capacité d’innovation, explique Jean-Noël Michel directeur marketing de Haribo France. Depuis quelques années, nos concurrents principaux ont relâché leurs investissements.« 

Haribo propose depuis début septembre des bonbons gélifiés sous la Licence Oasis

Derniers lancements en date, livrés aux magasins depuis fin août : la licence Oasis (pour deux ans) pour les bonbons gélifiés et une référence acide Red Pasta sur sa gamme Pik créée il y a quatre ans.  La diversification est en effet la caractéristique du confiseur qui ne met pas tous ses oeufs dans le même panier et répartit ses ventes sur cinq segments : les gélifiés classiques, les acides (Pik), les marques phares (Tagada, Dragibus, Chamallows), les assortiments et d’autres petites confiseries type réglisse.

90 % de notoriété

Au-delà de ses produits, Haribo soigne sa communication. La marque est présente en télévision 22 semaines par an et totalise plus de 4 millions de fans sur ses pages Facebook Tagada, Dragibus, Haribo Pik et Chamallow. Pas étonnant que son taux de notoriété assistée culmine à 90 % et que la notoriété spontanée soit à 68 %. Mais cela s’accompagne également de résultat. Haribo détient un taux de pénétration d’environ 50 %, ce qui signifie qu’un foyer Français sur deux achète la marque au moins une fois par an. C’est une performance proche de Nutella ou de Kinder

Pour entretenir cette notoriété, Haribo s’aide également de licence. « Nous préférons gérer avec modération les partenariats de licence mais sommes plutôt fidèle lorsque nous en nouons un, explique Jean-Noël Michel. L’association avec Orangina dure depuis 2012 par exemple, mais les Schtroumpfs nous accompagnent depuis plus de 20 ans. » Haribo Royaume Uni vient justement d’inaugurer cette année une licence très porteuse, celle des « Minions » de Moi moche et méchant, mais aucun déploiement n’est prévu en France. La filiale française, l’une des trois principales du groupe après l’Allemagne et le Royaume Uni, est libre de son action. 90 % des lancements sont donc d’origine française.

100 sachets de bonbons à gagner avec Marketing PGC

Partenaire de ce billet, Haribo offre 100 sachets de bonbons : Oasis, Tagada purpple, Chamallows viva samba, Dragibus, etc.

Pour tenter de gagner l’un des 5 lots mis en jeu, vous devez répondre à cette question :

Comment s’appelle le petit garçon icône de Haribo en France ?

Vous avez jusqu’au 31 octobre, soit le soir d’Halloween, pour participer en donnant votre réponse en commentaire, en cas d’égalité les gagnants seront tirés au sort. Ce concours est accessible aux personnes résidant en France Métropolitaine uniquement.

A vos claviers …