Au fil des ans, j'ai découvert que vététistes de sexe féminin ont du mal à saisir cette notion. À trois reprises, dont une hier, je suis presque entré en collision avec des femmes qui descendaient sur moi comme des bolides et espérait quand même que je m’arrête et me gare sur le coté.
Est-ce un problème d'orientation spatiale dont souffrent les femmes, ou une attente profondément ancrée de leur part que les hommes devraient toujours céder le passage aux dames en toutes circonstances ? J'ai toujours pas compris ...