Métro Lutèce

Publié le 02 novembre 2014 par Onarretetout

Il ne faut pas longtemps pour que le public se mette à danser, pour que la valse se transforme en farandole. C’est qu’il y a de la joie sous un phrasé parfois triste, comme peut l’être Yann Tiersen : c’est peut-être à cause de l’accordéon. C’est un groupe cohérent quoiqu’un peu hétéroclite : c’est peut-être à cause de la cravate du chanteur. C’est une musique qui balance et qui parfois s’étire : c’est peut-être à cause de la trompette et du cor. Et remettez-nous une valse, ça me fait penser aux Têtes Raides, allez Ginette. Leur nom, bien sûr, évoque doublement Paris, mais le voyage ne s’arrête pas là : ils n’en sont qu’au début.

Je les ai écoutés aux Sorbonnales, à Paris.