Bloc Party raconte l’origine de son tube « Banquet »

Publié le 09 novembre 2014 par Dookiz @merseysideband

Bloc Party a déjà plus de 10 ans d’existence et son morceau « Banquet » fait désormais partie des classiques du nouveau rock anglais. Le leader Kele Okereke nous raconte comment est né ce morceau. Séquence « Behind The Sound ».

De Girls & Boys à Doolittle

Né en tournée, le titre Banquet ne remporte pas les faveurs des acolytes de Kele qui se fait taquiner : « On dirait Girls & Boys » de Blur. Hautement influencé par les Pixies à l’époque (notamment le morceau Bleed sur le légendaire album Doolittle), Kele décide d’enregistrer le morceau malgré tout et s’inspire de Bleed pour les paroles. Il nous explique ainsi d’où viennent également les « ah ooh » et détaille la composition des riffs de guitares qui se répondent avec une vraie volonté « d’utiliser nos guitares comme des armes« .

Bloc Party a déjà plus de 10 ans d’existence et son morceau « Banquet » fait désormais partie des classiques du nouveau rock anglais. Le leader Kele Okereke nous raconte comment est né ce morceau. Séquence « Behind The Sound ».

De Girls & Boys à Doolittle

Né en tournée, le titre Banquet ne remporte pas les faveurs des acolytes de Kele qui se fait taquiner : « On dirait Girls & Boys » de Blur. Hautement influencé par les Pixies à l’époque (notamment le morceau Bleed sur le légendaire album Doolittle), Kele décide d’enregistrer le morceau malgré tout et s’inspire de Bleed pour les paroles. Il nous explique ainsi d’où viennent également les « ah ooh » et détaille la composition des riffs de guitares qui se répondent avec une vraie volonté « d’utiliser nos guitares comme des armes« .

L’influence Blue Monday

A l’inverse des autres membres du groupe, Paul Epworth (producteur, entre autres, du premier album de Bloc Party Silent Alarm, également connu pour son travail avec les Babyshambles, Maximo Park, Primal Scream ou encore le dernier album de Paul McCartney) adorait la démo et décortique alors les différentes pistes pour mettre en valeur ce travail de guitares porté par une batterie qui rappelle volontairement Blue Monday de New Order. Découvrez également pourquoi Kele nous parle de cannibalisme, et comment la démo a évolué pour devenir le tube imparable que c’est aujourd’hui.