En finissant Que nos vies aient l'air d'un film parfait, je me suis dit que l'enfant qui a le plus morflé n'est pas celui qu'on croit, que parfois, avec un entourage aimant (autre que parental) on arrive à dépasser la douleur, à se construire via d'autres repères, à réussir à être un adulte autonome et concerné, plus en recul sur le ex-couple parental et son modus operandi immonde. Bref, l'espoir est là, même fragile ! Éditions Le Passage (110 pages consacrées au texte)
avis : Anne, Argali, Clara, Métaphore, MissAlfie,
emprunté à la biblio (lu dans le cadre du prochain comité de lecture)
et un de plus pour les challenges de Philippe (météo avec « air »), de Piplo (avec « un ») et de Daniel