La fête de l'insignifiance

Publié le 20 février 2015 par Lecteur34000

« La fête de l’insignifiance »

KUNDERA Milan

(Gallimard)

Le Lecteur est désormais étranger à l’œuvre de Kundera. Depuis, et très précisément, « La valse des adieux », roman dont Il garde toujours en lui quelques traces. Il a parcouru « La fête de l’insignifiance » comme indifférent aux mots et à l’arrangement des phrases de Kundera. Ni même attentif à certaine mise en partition des désillusions. « Nous avons compris depuis longtemps qu’il n’était plus possible de renverser ce monde, ni de le remodeler, ni d’arrêter sa malheureuse course en avant. Il n’y avait qu’une seule résistance possible : ne pas le prendre au sérieux ». Soit donc de la sagesse plutôt conforme.