Ce n’est pas un mythe:
Un produit « de luxe » n’est pas forcément un gage de qualité.
#PenséeDuJour
Aujourd’hui, je vais dénoncer un scandale (rien que ça).
#MinuteCheGuevara
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Oui, parce que, pendant les soldes, j’ai réussi à shopper un liner qui me faisait de l’œil depuis un sacré bon bout de temps: l’Artliner de Lancôme.
Affaire du siècle : 9€ au lieu des 32 habituels. Ni une, ni deux, je jette ça dans mon panier et je file à la caisse. En plus, bonheur absolu, c’est la teinte 33 « Bleu Métal » (soit MA couleur du moment) : je suis juste joie.
A peine arrivée chez moi, je déballe ça (excitée comme un matin de 25 décembre) et je m’empresse de reluquer la chose.
Le packaging est sobre et chic (à la Lancôme) : pas très folichon mais un joli petit objet quand même.
Et, pour ne pas perdre une minute de plus (toujours excitée comme une puce) je me décide à le tester de suite. Déjà sur ma main, ensuite sur mes paupières.
Et là, c’est le drame.
Déjà, les pointes extra fines, c’est pas trop mon truc. Je préfère les « embouts » feutre. Mais, je fais l’impasse sur ce petit détail et me dis que, c’est pas grave, j’essayerai de faire un trait droit (sans trembler).
Mais, finalement, la pointe, c’est pas un problème.
Non. Parce qu’étant donné l’intensité (ou, devrais-je dire la « non intensité« ) de la chose, c’est vraiment pas le problème. Avant de voir quelque chose sur votre paupière, vous avez le temps de vous planter et trembler 12 fois.
Franchement, j’ai rarement eu l’occasion de tester un produit aussi peu intense. Vous avez beau passer 4/5 fois au même endroit, ça marque à peine sur votre peau.
La preuve en image :
Sur le trait d’en dessous, j’ai passé une fois le liner – sur celui du dessus, je suis passée plusieurs fois. Et, vous voyez que même après plusieurs passages, c’est pas le trait du siècle.
Ce liner est donc tout simplement inutilisable car invisible. Il ne sert donc définitivement à rien et je ne l’utilise jamais.
J’ai donc du trouvé une alternative et, cette fois, j’ai été chez Kiko.
L’Ultimate Pen de Kiko est juste, tout simplement, l’inverse de l’Artliner: il a déjà un embout feutre (que j’adore), est intense au premier passage et est hyper simple à utiliser. Et, le tout, pour moins de 10 euros (prix de base – hors promotions).
En un passage, le tracé est parfait et net.
Vous pouvez comparer l’intensité du Lancôme (les deux traits à gauche) et le trait du Kiko (à droite, donc).
Rien à voir donc.
Le seul « hic » du Kiko, c’est sa couleur. On est sur un bleu mais plutôt « canard ». Au début, j’ai un peu flippé et, finalement, ça passe plutôt bien (c’est d’ailleurs assez original).
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Vous l’aurez donc compris, je vous déconseille fortement la gamme Artliner de Lancôme. Je ne sais pas si toutes les teintes sont comme ça mais, honnêtement, je m’aventurerai pas à nouveau vers cette gamme (qui coûte un bras – 30 euros pour un liner, ça commence à être tendu du slip).
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Des Bisous ♥