240 – genese d’une etoile et de son cœur photonique

Publié le 11 avril 2015 par Jeanjacques

Ce que pourrait être la boule de feu originelle ou cœur photonique

A l’opposé de la théorie du big-bang qui suppose la genèse unique de la totalité de la matière universelle, nous avons supposé une genèse ponctuelle, étoile par étoile. Cela implique que l’étoile fabrique elle-même ses propres éléments à partir d’une matière première qui est celle de la substance de l’espace ou prématière. Cette nouvelle perspective se situe également à l’opposé de l’astrogenèse actuelle qui envisage l’effondrement d’un nuage interstellaire « déjà-là » puis un allumage progressif de l’embryon stellaire pour fabriquer ses divers éléments selon un processus complexe étalé dans le temps et l’espace.

S’agissant d’une hypothèse totalement inexplorée, nous devons faire preuve d’une grande imagination pour tenter de décrire ce que pourrait être le principe même de la genèse stellaire et partant de toute la matière. Cependant nous allons nous appuyer sur la procédure classique de création des photons et sur les propriétés  de la substance de l'espace

Nous avons défini l’espace de prématière comme constitué d’une substance totalement homogène dont l’extrême rigidité est prouvée par la vitesse C très élevée des ondes qui s’y engendrent. Il faut donc une énergie considérable pour « briser » cette substance afin d’obtenir un changement d’état, celui par lequel on parvient à créer une paire de particules.

La création du cœur photonique d’une étoile est soumise aux mêmes contraintes, à cette différence près que la brisure de la prématière ne peut avoir qu’une origine interne sous forme d’une onde de choc. (Nous n’analyserons pas ici les causes et conditions de cette onde de choc)

Ainsi, au tout début du temps, une onde de choc particulièrement puissante « brise » la prématière absolument continue et engendre une « boule de feu » constitué d’un plasma de photons condensés. Ici, le mode de surgissement des photons ne déroge pas à la création commune qui suppose un mouvement ou un choc entre particules.

L’opposition des forces entre la puissance de l’onde de choc et la résistance de l’espace est à l’origine d’une rotation sur lui-même du cœur photonique. Ce plasma de photons est immergé dans la substance de l’espace qui subit son « frottement » et se trouve mise en mouvement par la rotation du cœur. Des photons sont donc continument arrachés à la prématière ambiante par cette rotation dont la vitesse est proche de celle de la lumière. Ainsi s’instaure un processus constant et autonome de création de photons devant eux-mêmes aboutir à leur mutation en particules.

Nous ne développerons pas ici les modalités de croissance de l’étoile, ni les stades de la nucléosynthèse pas plus que le mode de refroidissement et d'extinction du cœur.

Ce qui faut surtout retenir, c’est le processus de la genèse première, la naissance du cœur photonique et le mode de prélèvement autonome de la substance de l’espace pour sa transformation en photons puis en particules.

Nous avons décrit ici une procédure cohérente et plausible de fabrication de la matière première stellaire à partir d’une substance bien « préréelle » et non pas à partir du vide, du rien, du néant comme le suppose la théorie du big-bang.