Si mes nouveaux protégés me réclament presque autant que mes propres amis, difficile de leur expliquer que 4 heures du matin n’est pas une heure décente pour se faire une partie. Jouer ou dormir : il faut choisir. Même si vos Sims tendent à vous faire pencher vers la première option. Chaque semaine, la même rengaine : je joue, je me lasse, je désinstalle puis je recraque. Les mois passent, et le côté obscur du «Sul sul !» finit toujours par avoir raison de moi. Pauvre mortelle. Clash of clans, Celtic heroes, le tournoi des champions de Marvel et même Mortal Kombat : j’ai tout essayé pour me seuvrer. Rien n’y fait. À croire que ces maudits Sims sont encore plus vicieux que la clope : il vous prennent par les sentiments jusqu’à ce que vous ne puissiez plus les lâcher. Le job de rêve, la baraque du tonnerre et le gamin pas trop chiant en bonus : addictif et chronophage, mais foutrement drôle. Avouons-le : on ne s’était pas autant amusés à jouer à la poupée depuis Barbie ! D’ailleurs, je crois qu’il est grand temps que j’aille me refaire une partie.