50 shades of adam warlock

Publié le 12 mai 2015 par Universcomics @Josemaniette
C'est au coeur d'un complexe scientifique appelé La Ruche qu'est né Adam Warlock. Né, c'est une façon de parler, car il est en fait une construction artificielle, fruit d'un quatuor de savants fous (l'Enclave). A la sortie de son cocon originel, Adam s'était baptisé Lui, tout simplement, et il a vite faussé compagnie à ses créateurs. Après un long parcours truffé d'aventures rocambolesques, Warlock gagne en maturité et en conscience, et devient un des personnages centraux de tout l'univers cosmique Marvel, surtout sous la plume de Jim Starlin, qui en fait une figure légendaire, souvent amené à se sacrifier pour ensuite renaître. 50 Shades of... vous propose ce mardi de revenir sur certaines des incarnations les plus célèbres d'Adam Warlock.  Le Warlock des premiers temps dans un très simple appareil. En tous les cas, pas besoin de bronzage avec une telle couleur de peau. Un des doubles du personnage, sa version maléfique, qui se dénomme Magus, et et recrute sa horde de fidèles au sein de l'église universelle de vérité. L'époque était alors à la coupe afro, vintage à souhait.  Adam dans les années 90. Retour en grâce avec Jim Starlin, et une trilogie fabuleuse. Il accède momentanément à l'omnipotence avec les six gemmes d'infini, qu'il répartira ensuite au sein d'une groupe hétéroclite (Thanos, Pip le Troll, Drax, Gamora ...)
L'incarnation du bien en Warlock, c'est la Déesse. Mais attention, le bien extrême peut se révéler une engeance pire encore que le mal. Ce qui provoquera la croisade cosmique de Jim Starlin.

Le destin de l'univers cosmique passe aux mains de Abnett et Lanning. Pour l'occasion, Warlock change (encore et toujours) de costume. C'est une constante, Adam change de tenue à nouveau retour. Adam Warlock Classic. Quid de sa vie amoureuse? Pas grand chose, mais une love story spatiale sans happy end avec Gamora, la femme la plus dangereuse de l'univers.  Face à Thanos à la fin des années 90. Avec encore et toujours un nouveau costume, et un goût prononcé pour la cape et la tenue empereur cosmique. Adam Warlock par Jim Starlin. Avec un coté machiavélique et dérangé qui contribue à la complexité du personnage. Warlock dans une mini série assez récente, dessinée par Williams III. Faute de goût, à mon sens. Un joli portrait de Joseph Linsner, pour finir. Adam Warlock de retour dans The Infinity Revelation, bientôt chroniqué sur ce blog.