255 - GENESE D’UNE ETOILE ET DE SON CŒUR PHOTONIQUE (suite)

Publié le 15 mai 2015 par Jeanjacques

Nous complétons notre analyse portant sur le processus de la genèse universelle que nous avons déjà examiné dans nos articles antérieurs.Il s’agit d’un « modèle théorique», alternatif au big-bang, selon lequel chaque étoile se constitue et produit elle-même ses matériaux.

1- Le principe de la création universelle suppose un mécanisme énergétique fondamental qui, à partir d'une énergie finie donnée (l’onde de choc), alimente l'Univers en matière et rayonnements.

Une onde de choc particulièrement puissante « brise » la prématière absolument continue et engendre une « boule de feu » constitué d’un plasma de photons condensés qui s'enroule sur elle-même à une vitesse proche de celle de la lumière comme le ferait une particule possédant un spin.

L’opposition des forces entre la puissance de l’onde de choc et la résistance de l’espace est à l’origine d’une rotation sur lui-même du cœur photonique. Cette impulsion initiale sera conservée pendant toute la durée de vie de l’astre et explique la cause de la rotation sidérale de tous les astres.

A l’inverse, cette rotation, dans la cosmophyque actuelle, aurait pour cause l’effondrement du nuage interstellaire qui conserve son moment cinétique.

2 - Ce plasma de photons est immergé dans la substance de l’espace quisubit son « frottement » et se trouve mis en mouvement par la rotation du cœur. Des photons sont donc continument arrachés à la prématière ambiante par cette rotation. Cette production de photons relève donc d’une procédure classique ayant pour origine une mise en mouvement de la prématière par le déplacement d’un corps comme nous l’observons pour les rayonnements de freinage.

3 - Ainsi s’instaure un processus constant et autonome de création de photons devant aboutir à leur mutation en particules tout en conservant son impulsion initiale qui est celle de l’onde de choc. Cette conservation suppose qu’il ne soit pas porté atteinte à sa valeur pendant toute la durée du processus, de sorte que ne s’épuise pas cette énergie en proportion de la création de photons comme c'est le cas dans la procédure classique de transfert d’énergie d’un objet physique à un autre. Le principe de la genèse implique en effet que surgisse un SURPLUS d’énergie qui ne corresponde pas à une perte dans un autre système.

Cette genèse exige un mécanisme physique producteur de ce surplus d’énergie sans que pour autant ce mécanisme soit lui-même alimenté de « l’extérieure » en permanence. L’équilibre entre production et alimentation doit être interne au cœur photonique de telle façon que ce qui est produit soit immédiatement compensé. Lorsqu’on photon est émis, la « masse » du magma photonique diminue mais son moment cinétique demeurant invariable, cette perte de masse sera immédiatement remplacée par prélèvement dans la prématière afin de produire un nouveau photon. Cette rotation à une vitesse proche de C engendre un rayonnement continu jusqu’à extinction progressif du cœur photonique  par étouffement gravitationnel. (Voir chapitre 3 sur notre site).

Nous avons ici une procédure de création parfaitement validable puisque la création permanente des étoiles peut être vérifiée par l'observation.

Il n’en va pas de même pour la théorie du big bang qui ne donne aucune explication sur la cause de son déclenchement et comment toute l’énergie supposée exister dans le néant originel peut se muer en photons - et cela d’autant plus difficilement qu’une énergie ne peut être autrement que sous forme photonique

4 -   L’intensité de l’onde de choc est variable, comprise entre une limite inférieure où aucun cœur photonique ne peut se constituer et une limite supérieure qui donnera naissance aux étoiles les plus massives et/ou de multiples embryons stellaires. Il existe ainsi un seuil d'énergie à partir duquel un embryon stellaire pourra se constituer et au-delà duquel le surcroît d'énergie va se répartir pour la création d’embryons stellaires de masse extrêmement variable. Ainsi, la masse finale  des étoiles sera conditionnée par l'énergie initiale de l'ébranlement à l'origine de leur constitution.

Puisque la création des astres s’effectue par le moyen d’une onde se propageant dans l’espace, celle-ci va être constituée d’un certain nombre de crêtes d’ondes d’où surgira un chapelet d’étoiles dont la valeur demasse sera distribuée autour d’un ou deux astres centraux, les plus massifs. L’ensemble du système sera donc aligné dés l’origine sur le même plan. Cette hypothèse est très largement confirmée par l'observation. II en résultera qu'une grande majorité d'astres naîtront simultanément, de taille variable, les naissances solitaires, sans être impossibles, semblent a priori plus rares.

La cosmologie standard a beaucoup de mal à expliquer les modalités de fragmentation d'un nuage pour justifier la naissance simultanée de multiples étoiles. De même, l'alignement immédiat sur un plan équatorial n'est pas évident dans la théorie de l'effondrement: une dispersion aléatoire sans ligne de force est beaucoup plus probable. Il a même été observé récemment deux couples d'étoiles binaires en gravitation mutuelle dont la naissance peut difficilement s'expliquer par la fragmentation d'un nuage unique compte tenu de leur très grande proximité (5.8 UA)