Une piste d'atterrissage graffitée

Publié le 06 juin 2015 par Didier Vincent

Géoglyphe éphémère

Le souci avec les œuvres surdimensionnées (de type Nazca) c'est que, quand on est trop près, on ne voit rien et quand on est à une certaine distance on n'y voit plus rien. Cette piste d'atterrissage dans le désert sert de fond à un graffiti géant. Il y faut ce making of pour se rendre compte du travail de fourmi. Vu de haut, on pourrait penser à du Photoshop. Total : beaucoup de peinture pour un résultat qui ne peut être que décevant et sans doute très éphémère, la première tempête de sable venue va recouvrir le tout. Reste la performance.