Le songe d'une nuit étoilée...

Publié le 15 septembre 2015 par Philippejandrok

Comment commencer cette chronique, hum ?

Après « dépublication » d’un de mes articles sur un autre support, pour une raison que j’ignore encore, il me faut désormais reconsidérer ma façon d’écrire et de dévoiler la vérité, car, si la vérité est belle à entendre, elle n’est plus bonne à dire dans notre pays qui était celui de Voltaire et de Rousseau, ces deux penseurs des Lumières qui ont permis d’abattre le mur du pouvoir de droit divin par la beauté de leurs idées qui ont conduit, elles-mêmes, à la Révolution française portant en elles, l’espoir nouveau d’une société égalitaire pour tous.

Faudrait-il pour écrire aujourd’hui, entrer dans la clandestinité et publier sous couvert d’un pseudonyme, sur des réseaux spécifiques édités sous le manteau, comme ce fut le cas durant des siècles ? On ne compte plus les auteurs que l’on admire aujourd’hui et qui ont dû se cacher et même fuir leur pays pour continuer à illuminer les esprits des paroles les plus sages.

Or, ce qui pousse un rédacteur, un auteur à s’exprimer, ce n’est pas le salaire, c’est un feu ardent à jamais allumé dans son âme qui vise à illuminer celle de son voisin par des réflexions auxquelles l’autre n’a pas nécessairement pensé. Ce n’est pas non plus une volonté d’imposer, mais plutôt de soumettre un concept, une vision.

Comme certains, il m’arrive d’avoir des visions ou des projections, qui, souvent se vérifient avec le temps, oh je n’en tire pas la moindre fierté, je n’y suis pour rien, on appelle cela, l’inspiration.

Ma vision du jour comme celle d’un ermite inspiré vivant dans sa grotte humide et froide, et se porte sur un pays imaginaire, dans un lointain futur, serait-ce de la science-fiction ? Je n’en doute pas.

En sombrant dans une transe étoilée, alors que j’observai les cieux, je vis un pays qui se dessinait sous les nuages, car, je crois bien que je volai, une voix, venue de nulle part, me murmura que fut ce pays :

-  Il s’appelle Perfidie et on y parle le français, me dit la voix, c’est une ile, non loin de celle d’Utopie, la vois-tu ? Là, sur la Gauche, Utopie, où il n’y a ni censure politique, ni censure religieuse, elle a été découverte par l’humaniste Thomas More au XVIe siècle, Utopia, disait l’ami d’Érasme, ce pauvre More, philosophe renaissant qui eut la tête tranchée sur ordre de son élève qui fut son roi. Ne contrarie jamais les puissants, me dit la voix, même si dans tes mots résonnent un flot de vérité, ils sont pour eux, l’éternel mépris de la grandeur d’âme…

La voix m’expliqua que :

La Perfidie jouxtait la Barbarie et n’en était séparée que par un bras de mer, sur une carte, cela se mesurait en un doigt, l’index d’un homme adulte, je crois. La Perfidie était dirigée par un groupe d’hommes et de femmes au service de l’Infamie, cet autre pays qui ment au quotidien à son peuple en lui faisant croire à la démocratie. Son système de contrôle médiatique est d’une simplicité enfantine, des micros et des caméras dans chaque maison, couplées aux détecteurs de fumées, le tout en WiFi, des écrans sur tous les murs et surfaces planes, diffusant l’information de la bande des trois en continu, jour et nuit, nuit et jour, afin de briser toute forme de réflexion, et d’endoctriner le peuple qui fini par croire ce qu’on lui dit de croire.

L’infamie, cet autre pays, est une place boursière qui contrôle tous les flux monétaires de la planète Terra 2 sans la moindre exception, et qui contrôle ces flux, contrôle ce monde.

La Barbarie est un continent nommé d’après une petite figue aux épines invisibles, peuplé d’adorateurs religieux radicaux qui prient à quatre pattes et on y parle une langue sémite ; la Barbarie est depuis 50 ans réduit à feux et sang par la Perfidie, et l’Escroquerie qui s’acharnent à la vider de ses ressources énergétiques.

L’Escroquerie est  un autre continent lointain, dirigé par un métisse géant tout droit sorti du roman Salammbô ; il méprise autant sa race que tous les peuples qu’il considère inférieurs, c’est Matho le mercenaire, dans son pays, on y parle l’anglais. L’Escroquerie vit de guerres et de conquêtes en promettant d’apporter la démocratie dans les pays qu’elle ravage, mais en guise de démocratie, elle met en place des dictatures religieuse et pendant que les peuples sont occupés à s’entretuer, l’Escroquerie pille les ressources des pays conquis, et les laisses à l’état de ruines, mais libérés. Libérés de qui, de quoi ? Chacun s’interroge encore sans trouver la moindre réponse.

L’Escroquerie a tant ravagé la Barbarie, que nombre de ses ressortissants quittent le continent meurtri et ravagé par les meurtres et les viols pour émigrer et trouver la sécurité en Perfidie, le pays qui est généreux avec les enfants de la Barbarie ; il est si généreux ce pays, que tout est permis pour ces ressortissants, ils ont tous les droits et aucun devoir, ils ne respectent aucune des lois de la Perfidie et pour cause, ce ne sont pas des lois de la Barbarie.

Parmi cette horde de migrants se trouvent des familles en fuite, des diplômés, et des soldats Barbares déguisés en migrants. Ces jeunes migrants qui n’ont pas le courage de défendre leur Barbarie contre ses ennemis, et qui laissent les femmes combattre à leur place. Ils décident de venir en Perfidie et d’attendre le bon moment pour… oui pourquoi viennent-ils et ne se battent-ils pas pour leur pays ?

Pourquoi viennent-ils en Perfidie avec un cahier de doléances qu’ils imposent dès leur arrivée, alors qu’ils peuvent le mettre en pratique chez eux ?

Le gouvernement de la Perfidie sous le commandement hystérique Duroquet, c’est le nom du second en chef, « condamne toute discrimination contre les réfugiés non chrétiens », il est tellement courageux ce gouvernement du Présidant Glandouille, qu’il n’ose même pas prononcer le mot « Barbarie », comme si c’était une insulte. Mais pourquoi le gouvernement interdirait-il une telle critique aux chrétiens et n’interdirait-il pas les actions criminelles des migrants de la Barbarie commis en Perfidie ?

Hier encore, sur l’unique chaîne des médias des nations, apprenait-on qu’un migrant violait dans un square une enfant de 7 ans, serait-ce de la discrimination que d’oser en parler ? Il est vrai que le journaliste ayant fait cette déclaration a immédiatement été mis à pied au motif de « discrimination contre les réfugiés non chrétiens ».

Il faut avouer que le peuple perfide a de plus en plus de mal à contenir sa colère face à la permissivité de la bande des trois vis-à-vis des migrants barbaresques, les mots de « traitres, félons, vendus » circulent dans les courants d’air de la Perfidie, on les attrape au bond, écrits sur une partition musicale translucide circulant sur le courant de pensée.

Un quatrième brillant conseiller des pouvoirs, le grand prêtre Tathalie de l’Infamie, prétend que ce flux migratoire est un aubaine extraordinaire pour la Perfidie, et qu’il en fera un pays phare, en oubliant que la religion de la Barbarie n’accorde aucune concurrence spirituelle et que cette même religion les a empêchés d’évoluer chez eux pendant des siècles.

Il semble que la logique de l’analyse de M.Tathalie et la réalité, sont deux choses diamétralement opposées, mais comme ces êtres logiques qui gouvernent les peuples ne vivent pas parmi les peuples, ils ne comprennent en fait rien à la réalité physique et restent dans leurs statistiques et leurs plans de développement, qui ne peuvent jamais réussir, puisque ce sont les mêmes qui sont au pouvoir depuis tant d’années et qu’ils en sont toujours au même point, c’est dire comme ils sont incapables. Officiellement, ils sont là pour régler les problèmes, officieusement, ils sont là pour introduire le chaos et préserver ainsi leur pouvoir sur les peuples.

Le pouvoir est si pervers, qu’il parvient à faire passer sa propre incompétence pour celle des citoyens qui la subissent et qui en sont rendus responsables.

Une grande part des réfugiés de la Barbarie sont comme les figues, piquants jusqu’au sang ; ils le savent bien, et se conduisent le plus souvent avec mépris des us et coutumes des pays d’accueil, pour ensuite accuser la loi de la Perfidie de racisme et d’intolérance, et comme la bande des trois se garde bien de prétendre qu’elle est raciste, la loi de la Perfide obéit au chantage des Barbaresques et sa tolérance frôle non seulement la bêtise, mais l’incohérence d’un père Ubu contre son propre peuple qui est désormais en danger de mort.

Les barbaresques ne sont pas particulièrement intelligents, mais ils savent trouver les failles d’un système et les utilisent sans complexe.

Le racisme est très en vogue chez les personnes malhonnêtes qui se prétendent religieuses, alors qu’en fait, il est inscrit dans le livre de la fiole sacrée des Barbares, que tous les moyens sont bons pour flouer et tromper tous ceux qui n’ont pas la fiole magique pour dieu, c’est pourquoi ils se prosternent devant sa représentation plusieurs fois par jour. Il faut avouer qu’à force de se trouver à quatre pattes, ils ont oublié de travailler. Depuis qu’il sont en Perfidie, les barbares pour gagner du temps sur leur lieu de travail, ont exigé des salles de prière et s’y rendent plusieurs fois par jour durant les horaires de travail, sous des prétextes religieux, ils ont trouvé le moyen de travailler moins et de se faire payer plus. Il y a chez les Barbaresques un gout prononcé pour une certaine roublardise, mais heureusement que certains parviennent à des professions plus honorables, comme celle d’avocat, pour les défendre, de médecin, pour les soigner, de commerçant, pour leur vendre les produits du culte et l’alimentation sacrée, en fait, ils ne s’intègrent que pour aider et alimenter leurs coreligionnaires dont le secret objectif et de conquérir les pays d’accueil, dont la Perfidie. 

Mais, la Perfidie a aussi cette fiole pour dieu, mais elle porte un autre nom, ce qui ne plait absolument pas aux enfants de la Barbarie, car « la fiole est le dieu le plus grand », donc, aucun autre dieu ne peut se comparer à elle. Y aurait-il de l’intolérance en Barbarie ? L’histoire nous le prouve au quotidien au pays de la Perfidie.

Il existe également en Perfidie, des factions politiques d’extrême droite qui se nourrissent de la haine grandissante des citoyens qui ne supportent plus la lâcheté du gouvernement perfide, et surtout, sa condescendance perverse avec les enfants de la Barbarie ; et la Perfidie se divise désormais entre gens de ce mouvement et gens de la Barbarie qui forment désormais un parti politique pour remporter les prochaines élections, comme cela s’est passé au pays des Pyramides de cuivre avec les « frères de la pierre sombre. »

Les Barbares du Levant devenant avec ce flux migratoire, majoritaire, toute la culture de la Perfidie est menacée à cause de cette complicité de la bande des trois dirigeants de la Perfidie qui ont des comptes bien garnis en Infamie, alimentés par les pétrodollars des chameliers du pays des Pyramides de cuivre, qui offrent autant de lieux de culte en Perfidie, pour former les enfants barbares à la destruction de la civilisation Perfide.

Les guerres qui sont menées, sont des guerres d’idées religieuses en apparence, alors que ce sont des guerres économiques qui se cachent sous le prétexte de la religion.

Ainsi, les citoyens de la Perfidie s’interrogent :

La Perfidie qui n’a pas d’argent pour sa propre nation qui s’appauvrit, mais elle débloque des millions d’euros pour les migrants, alors que parmi eux se trouvent des terroristes qui installent une 5e colonne silencieuse prête à intervenir n’importe quand contre la Perfidie et son peuple.

Le bigleux, un des trois dirigeants de la Perfidie, promet 1 000 euros à chaque famille accueillant une famille de migrants sous son toit, c’est comme de couver un œuf de dragon qui s’éveillera et qui mangera sa famille d’adoption, car quand le dragon est poussé par la faim de dieu, rien ne l’arrête.

Ce même bigleux qui annonce à son peuple qu’il se pourrait que des assassins se soient glissés dans le flux migratoire, mais cela reste du domaine de l’hypothétique. Le traitre cache mal son émotion de placer le loup dans la bergerie.

Dans ce flux migratoire en provenance de la Barbarie, on trouve en majorité des hommes jeunes, forts, athlétiques, puissants, qui arrivent, baluchon sur l’épaule avec des revendications religieuses fortes. Ils veulent de la nourriture sacrée, des plats épicés, ils veulent que les femmes se voilent dans la rue dans des sacs de cordes bleus ou noirs, ils ordonnent que l’on suive la loi de la fiole sacrée et ils n’en respectent aucune autre. C’est la dictature de la Barbarie, qui déjà se développe en Perfidie, en Romanie, en Albion, avec une tolérance surprenante.

En effet, comment peut-on être tolérant avec l’intolérance se demande le peuple ?

Mais la bande des trois lui fait comprendre que l’on peut et que toute critique formulée publiquement sera sanctionnée par des peines de prison. En Perfidie, on ne discute pas la volonté du pouvoir de détruire son peuple.

D’autres part, la Perfidie a déclaré vouloir bombarder la Barbarie pour la débarrasser des terroristes qui la détruisent, mais elle a formé et financé ces terroristes, et veut en fait éliminer le président élu et aimé du pays de la Barbarie, Baramin, le troisième du nom.

Malheureusement pour la Perfidie, les Tzars, une autre ethnie orthodoxe se trouvant bien à l’Est de la Perfidie du côté des montagnes du Katcase, ont décidé d’envoyer une armée de soldats surentrainés pour aider la Barbarie à combattre les terroristes et à s’installer dans un port de la mer de la fiole pour en contrôler le trafic maritime et militaire.

Ce que les citoyens de la Perfidie craignent, est que leurs dirigeants décident de bombarder le président de la Barbarie, Baramin le troisième et que les Tzars s’interposent, créant de la sorte une guerre inévitable avec la Perfidie, l’Escroquerie et l’Albion.

Si une telle guerre devait se produire, les soldats dormants de la Barbarie en Perfidie, en Germanie, en Romanie, s’étant glissés dans le flux migratoire, et dans les familles grâce au Bigleux, se réveilleraient pour entrer en action et feraient ce qu’ils savent faire de mieux, la guérilla, en massacrant, en violant femmes et enfants, de cette population rendue sans défense de la Perfidie, comme ils l’ont fait en Barbarie avec la bénédiction de la Perfidie, l’Escroquerie et Albion la félonne.

La Perfidie de son côté, qui a aidé l’Escroquerie et l’Infamie à détruire la Barbarie, cache le secret désir de détruire la nation perfide et de la remplacer par des migrants de la Barbarie.

Ceux-ci travailleront d’abord comme esclaves, c’est le projet de la Germanie, 1 kopeck de l’heure, ce qu’aucun perfide n’accepterait jamais. Ce seront donc des esclaves pour les seigneurs perfides et pour un salaire de misère en échange de la destruction de la pensée, de la culture et de la religion judéo-chrétienne perfide. Et pourtant, dans mon rêve, la Germanie qui était si heureuse d’accepter ce flux migratoire a soudain décidé de le bloquer à ses frontières, sans pour autant donner de raison.

La moralité comme le souhaite les dirigeants, sera rayée de la culture Perfide, ainsi que la race dite blanche, qui sera mélangée par le viol et les mariages forcés des Barbaresques.

- « Et que prennent garde ces femmes perfides qui se refuseront à ces hommes barbus, elles seront maudites par les anges de la Barbarie toute la nuit pour ne pas avoir satisfait leurs pauvres époux forcés, barbares… » disent les prêtres de la Barbarie à leurs sujets ; à partir de l’âge de 9 ans, les filles pourront être violées, ainsi que les femmes, car c’est la loi de la Barbarie… ajoutent-ils.

Le petit jour me tira de ma rêverie, voilà ce que j’ai vu dans ma vision et je vous la confie pour que vous en fassiez ce que vous voudrez…

 Philippe A. Jandrok