Il ne se passe pas un mois sans qu'un athlète « extrême » d'une quelconque catégorie se tue, victime d'une marge de sécurité rétrécie par les niveaux impressionnants auxquels se hissent les athlètes.
Je me demande si ces casse-cou pensent parfois à leur famille (parents, compagnons, enfants) avant de se lâcher ? Quelle innovation ce serait, si c’était le cas !