Citoyens, n’attendez plus votre retraite, elle ne viendra pas…

Publié le 31 octobre 2015 par Philippejandrok

L’âge de la retraite ne cesse d’être reculé, alors qu’en fait, c’est le paiement de cette retraite que le gouvernement se rend désormais incapable de payer.

Les employés français ont été obligés de céder une part de leur salaire pour se garantir un fonds de pension le jour où ils ne seraient plus productifs, c’était une garantie sine qua non, quelque chose rendu absolument indispensable pour leur permettre de vivre dignement dans la société qu’ils avaient contribué à construire pour les jeunes générations.

 Aujourd’hui, les Grands Patrons qui gèrent avec l’état ces fonds de pension ne veulent plus rendre ce trésor accumulé pour se le garder pour eux, et créer une nouvelle pauvreté.

Pour cela, ils inventent des guerres, des crises économiques pour piller l’argent du labeur des citoyens afin de refuser de rembourser ce qu’ils ont contracté chez les employés sous de faux prétextes, tous ces évènements tragiques qui dissimulent le vol qualifié d’une élite sur le peuple. Nous sommes d’accord, il s’agit bien d’un prêt que celui qui travaille à consenti en croyant se protéger des aléas de sa vie future ; mais, les gouvernants successifs, se rendent dans l’impossibilité de la payer cette retraite puisqu’ils se sont déjà servis, il y a donc quasi impossibilité la remettre comme il avait été promis de le faire… mais, c’était avant…

Le physicien Stephen Hawking déclarait dernièrement à propos de la robotisation de la société (https://mrmondialisation.org/ayez-peur-du-capitalisme-pas-des-robots-estime-stephen-hawking/ ) :

 - « Tout le monde peut jouir d’une vie luxueuse faite de loisirs si la richesse produite par une machine est partagée, ou alors, la plupart des gens peuvent finir misérablement pauvres si les propriétaires de ces machines organisent avec succès leur lobbying contre la redistribution des richesses. »

Nous sommes, malheureusement, dans la même démarche de destruction de la société par ces mêmes élites.

Le gouvernement complice, toujours complice, ne veut pas avouer aux retraités que leur retraite leur a été volée par le pouvoir, par les patrons, qui ne cessent de reculer l’âge de cette retraite afin de gagner du temps, puisque du travail dans le fond, il n’y en a plus, il est en Chine, en Inde, partout ailleurs où le coût en est amoindri.

Ce même gouvernement qui a contraint cette année 900 000 retraités et ménages modestes à payer une taxe d’habitation et une taxe foncière dont ils étaient exclus jusqu’à présent ; quelle meilleure façon de ruiner un peuple ?

À cela s’ajoute la demi-part des veuves qui est remise en question, l’empire de la générosité populaire s’effondre sous le règne d’un roitelet socialiste. Ah ! ce président Hollande qui jurait qu’une fois président il n’augmenterait pas les impôts ; il n’a pas menti le bougre, il en a juste rajouté à ceux qui ne peuvent pas les payer avant.

Est-ce un moyen détourné de s’approprier le bien d’autrui ?

Voilà à quoi mène une élection, à mettre en place des sujets du capital qui se dissimulent sous le masque du démocrate, encore une traitrise à ajouter à son palmarès, décidément cet homme est indigne en tout.

Actuellement, de nombreux retraités attendent le paiement de leur retraite depuis des mois, des années mêmes dans certains cas, et vivent péniblement sur leurs réserves, mais jusqu’à quand pourront-ils tenir ?

Nombre d’entre eux sont malades ou le deviennent à cause du facteur stress créé par cette immonde injustice : avoir travaillé toute sa vie et se voir privé de ce que l’on lui doit ?

L’état n’est pas si tolérant lorsqu’il décide qu’un citoyen, une PME, PMI lui doit de l’argent, justifié ou pas.

Pourquoi les retraités impayés n’envoient-ils pas les huissiers à la caisse de retraite ?

C’est exactement ce que font les services de l’état contre des gens qui travaillent et qui ne peuvent payer ce que cette machine infernale de fausse démocratie impose aux citoyens.

Nous assistons à la chronique d’un meurtre prémédité de nos anciens par le pouvoir et le patronat, cette honte, nous, citoyens, devrons la porter, pire, nous devrons l’apposer aux pieds de ces maudits auxquels nous avons fait confiance et qui bafouent les fondements de notre constitution en trichant au quotidien.

Les hommes politiques ne souffrent, de leur côté, d’aucun problème de retraite, et pour cause, ils ne sont pas au service des citoyens, mais du patronat, et ils sont dignement remerciés pour leurs bonnes œuvres en faveur des plus puissants.

Ils devront également rendre des comptes de leurs mauvaises actions contre le genre humain et on remettra les palmes dorées de la traitrise et de la lâcheté, à ceux qui nous donnent des leçons de savoir-vivre et de patience mesurée.

Ces hommes et ces femmes politiques sont des usurpateurs glorieux qui réussissent à nous berner sans être illustres pour autant. 

Il en va de même pour cette presse soumise, la chienne du pouvoir qui se fait prendre en lui léchant les bottes et qui cache sous le tapis, la poussière de la honte des actions du pouvoir. Parle-t-elle cette presse, de la mort subite de Monsieur X, de Madame Y, du petit boulanger retraité, de l’as de la baguette et du petit pain au chocolat qui a nourri des milliers de familles et qui se retrouve à mendier son pain à cause de la traitrise de nos élus et de banquiers voleurs qui placent la retraite des uns pour enrichir celle des autres ?

Les masques tombent, les citoyens n’en peuvent plus, bientôt ce seront des têtes qui tomberont dans le panier, celles de tous ces traitres élus du peuple, la révolte gronde, déjà en Allemagne une élue a été poignardé, dans certains pays de l’ancien bloc communiste les citoyens mécontents jettent les élus dans les poubelles, bientôt, les élus français, qui sont les plus corrompus d’Europe, seront entourés d’une brigade aux frais du contribuable pour les protéger de la vindicte populaire.

Elle est là la vérité, et tout ce que la presse raconte sur les retraites n'est qu'un mensonge pour dissimuler l'escroquerie manifeste.

La situation va empirer inévitablement, avec le flux migratoire sensé être un espoir économique, des milliers de migrants sous éduqués, sans diplômes, aux mœurs incompatibles avec la mentalité occidentale, effrayent aujourd'hui l'Allemagne qui pensait naïvement avoir 400 000 ouvriers sous-payés dans ses usines et qui deviennent désormais 400 000 chômeurs de plus. Il est même question d’en renvoyer par avion militaire tant la situation est rendue préoccupante par la manipulation menée par les géo-stratèges américains pour déstabiliser les pays européens.

Dans certaines villes, la situation est intenable comme à Brême, bientôt Berlin, comme à Calais en France et ailleurs.

Comment et avec quels moyens financiers l'état pourrait-il faire face à cette dépense, si ce n'est en puisant dans les caisses de retraite, un capital solide ?



Les retraités ne sont pas dangereux, on peut les ponctionner comme on veut, même s’ils râlent, ils ne vont pas casser les vitrines ; les migrants au contraire, n’ont rien à perdre et s’attendent à ce qu’on leur remette de l’argent et des logements, dans des pays si riches que les femmes leur sont offertes avec leurs enfants, c’est bien ce que les passeurs au service des USA leur ont dit.

 La situation est de plus en plus ubuesque, surréaliste ; tout ce que l’on nous a appris jusqu’à présent sur le partage et le respect sombre dans le gouffre de l’hypocrisie manifeste. Le Bon Dieu des musulmans est à la mode pour des raisons électoralistes, alors que celui des chrétiens est jeté aux orties. Si on détruit une mosquée, c’est un crime, si on détruit une église, c’est normal, nous sommes dans un pays laïc.

Dès lors, il est normal de reculer l’âge de la retraite, de ne plus payer les retraités et de les culpabiliser en leur disant qu’ils vivent comme les chômeurs, sur le dos des autres, sur celui d’une société en souffrance, oui, nous comprenons ; achevons nos anciens, détruisons-les, pour permettre aux plus riches de s’enrichir d’avantage, les plus riches, les véritables parasites qui sucent le sang de ceux qui les font vivre.

Nous vivons une époque formidiable…