Attentats du vendredi 13, incohérences et interrogations...

Publié le 17 novembre 2015 par Philippejandrok

David Van Reybrouck, écrivain historien, livre dans le journal Le Monde[1] un article très intéressant sur le rapport entre le discours du président Hollande après les attentats de Paris du 13 novembre 2015 et celui de G.W.Bush après celui du 11 septembre 2001. Celui-ci indique que Monsieur Hollande serait tombé dans un piège, mais pourquoi penser qu’il soit tombé dans un piège ?

« Ce qui s’est produit hier à Paris et à Saint-Denis, près du Stade de France, est un acte de guerre et, face à la guerre, le pays doit prendre les décisions appropriées. C’est un acte de guerre qui a été commis par une armée terroriste, Daech, une armée de terroristes, contre la France, contre les valeurs que nous défendons partout dans le monde, contre ce que nous sommes, un pays libre qui parle à l’ensemble de la planète. C’est un acte de guerre qui a été préparé, organisé, planifié de l’extérieur et avec des complicités intérieures que l’enquête fera découvrir. C’est un acte de barbarie absolue. »


F. Hollande

Ne serait-ce pas tout simplement une stratégie clairement élaborée par le Nouvel Ordre Mondial pour terroriser les peuples et les soumettre ?

L’affaire Syrienne lui ayant échappé par les actions de Poutine auprès du peuple syrien, il fallait bien trouver une justification à sa dernière intervention ridicule de déclarer la guerre à des invisibles en allant bombarder le fief de l’État islamique en Syrie. Une action précédemment fort critiquée par l’exécutif français contre celles menées par les Russes dans la même Syrie.

Ces bobardements pardon, bombardements, ne dénotent-ils pas la volonté d’impliquer notre pays, notre nation, nos enfants, dans les prochains conflits armés au Moyen-Orient et ailleurs, car, après cette déclaration et cette action inutile puisqu’elle n’a fait aucune victime, mais à force de cocorico, cela deviendrait inévitable.

Un attentat pour justifier une guerre ?

N’est-ce pas ce que les Américains ont fait pour mettre à feu et à sang le Moyen-Orient ?

Pendant 5 longues années, l’exécutif et les médias français ont désigné Bachar el Assad comme le grand méchant loup syrien, M. Fabius a même déclaré qu’il fallait l’éliminer et qu’il ne méritait pas de vivre, tout en finançant avec nos impôts, une branche terroriste d’Al Qaïda.  

Aujourd’hui, après les massacres de Paris, l’exécutif français réalise soudain, ce que nous clamons haut et forts depuis toutes ces années, que les criminels ne sont pas ceux qui sont désignés, mais ceux qui les entretiennent, dont cet exécutif diabolique qui aurait dû démissionner après ces sordides attentats, car, coupable par omission et complice direct ou indirect par toutes les mauvaises actions menées de concert sur le terrain national et international.

Il n’y a eu aucun piège tendu dans les attentats du 13 novembre, il n’y a eu que la mise en place d’une stratégie perverse. Des jeunes gens auxquels on avait donné des armes et du « Captagon » cette drogue fabriquée par la CIA, retrouvée dans les mains d’un prince Saoudien, pour aller tuer des innocents en France et en Syrie.

Le scénario des attentats de Paris s’apparente également à celui du tueur au scooter, M. Merah, qui a bénéficié de soutien des services secrets français (preuve apportée par une bande audio que le père de l’assassin a diffusée) et tout cela sous la présidence de N. Sarkozy, chacun son attentat.

Étrangement, certains des assassins étaient français, comme Merah, la même haine du système nourrie de salafisme de banlieue par les espions au service d’un état pour permettre d’entretenir la terreur et maintenir le peuple dans la peur et sous contrôle.

Un peuple qui a peur est un peuple soumis à la volonté de son exécutif et de son président tout lamentable soit-il.

Le président Hollande a encore une fois raison lorsqu’il dit :

- « C’est un acte de guerre qui a été préparé, organisé, planifié de l’extérieur et avec des complicités intérieures… »

Comment, n'importe quel spécialiste du terrorisme peut-il imaginer un seul instant que 7 attentats aient eu lieu en une soirée dans la capitale française, sans que l’exécutif français n’en ait été informé, alors que les services secrets de Monsieur Obama et ceux de l’État d’Israël étaient au courant ?

Je repose cette question sensée, comment les attentats du vendredi 13 novembre 2015 ont-ils pu se dérouler dans l'ignorance totale des autorités ?

La réponse est le signe d’une terrible incompétence ou d’une parfaite complicité, incompétence qui éclate au grand jour dans les médias et qui échappe au pouvoir, et pourtant, lorsque l’on souhaite dissimuler sa traitrise, on l’exprime systématiquement par de l’incompétence, on excuse le drame par la bêtise, mais il n’y a jamais la moindre bêtise en matière de terrorisme, il n’y a que de la stratégie de l’horreur et des larmes pour le peuple qui souffre, car ce ne sont jamais les affreux qui en sont victimes.

Les affreux, les Hollande, les Valls, les Taubira, les Fabius, les Moscovici et les autres, ils ne risquent jamais rien, et pourtant, ils sont les premiers responsables des drames nationaux et internationaux. Ils sont, pour la plupart d’entre eux, mêlés à des affaires de mœurs (une plainte pour viol en réunion a été déposée et reçue contre Messieurs Hollande, Lang et Moscovici), qui les menacent comme une épée de Damocles, mais il se pourrait bien qu’ils échappent au châtiment de la divine justice, comme c’est systématiquement le cas pour les gens de pouvoir, il suffit de voir toutes les affaires que trainent l’ancien président Sarkozy, un simple citoyen français concerné par 10% de ces affaires, serait déjà à l’ombre pour longtemps.

Il faudrait également ajouter que si le capitaine d’un vaisseau qui fait naufrage sauve ses passagers et son équipage avant lui, M. Hollande a quitté son navire au Stade de France avec les rats, en abandonnant son équipage, son peuple, en le laissant livré à lui-même, sans lui donner la moindre explication.

Dans le film «Air Force One» (Wolfgang Petersen, 1997), le président des États-Unis refuse de fuir le danger, pour affronter les malfaisants terroristes lui-même, c’est une fiction bien sûr, dans laquelle on imagine un président courageux, mais la réalité est bien moins glorieuse et il semble que le président Hollande n’ait pas eu cette ambition de devenir un héros, le 13 novembre 2015, pour le malheur des Français.

Dans « Les sentiers de la gloire » (Stanley Kubrick, 1957) l’état-major français a fait fusiller des soldats pour moins que ça !

Il faut arrêter de penser que F. Hollande est un niais, c’est tout le contraire, comme le dit l’historien Belge, son discours est une sorte de copier/coller de celui de George Bush jr, suite aux attentats du 11 septembre, un autre niais qui appliquerait la même stratégie ?

Sortons de cette idée qui nous force à tout pardonner à l’imbécile qui se dissimule sous un criminel de l’humanité.

Nous avons affaire, me semble-t-il, à des acrobates au service d’une organisation globale, le Nouvel Ordre Mondial, un ordre agissant depuis toujours et qui souhaite réduire notre capacité de réflexion et notre capacité d’agir. Ces dirigeants de l’ombre ne veulent pas des êtres pensants, mais des esclaves soumis, et en considérant le chef de l’état comme un "Flamby", la majorité se trompe et lui pardonne son incompétence avec dépit, alors que celle-ci est stratégique.

Chaque déclaration, chaque action est murement pensée, ne tombons pas dans le piège de l’aveuglement par la bêtise apparente, il n’y a aucune bêtise, juste une stratégie de la terreur et du contrôle, et si nous continuons à nous laisser entrainer dans ce mensonge, nous sommes perdus.

DAESH lui-même n’est que l’outil d’un ennemi bien plus puissant, bien plus dangereux, F. Hollande serait-il au service de cet ennemi ?

Devrions-nous penser qu’il ne défend pas plus la France que les Français et que cette cruelle réalité devrait illuminer la conscience des citoyens de ce pays avant qu’il ne soit trop tard ?

« …c’est un acte de guerre qui a été commis par une armée terroriste, Daech, une armée de terroristes, contre la France, contre les valeurs que nous défendons partout dans le monde, contre ce que nous sommes, un pays libre qui parle à l’ensemble de la planète. »

« …un pays libre qui parle à l’ensemble de la planète… » ?

Je crains que cette liberté ne soit plus qu’un leurre, et que nos dirigeants ne soient pas plus libres qu’un lion en cage qui fait le beau pour des spectateurs impressionnés par le geste, plus que par la réalité.

Notre 13 novembre 2015 n’est pas seulement un drame national, mais pourrait être la révélation d’un agenda sordide qui préfigure le pire avenir, à venir.

Nous vivons une époque formi Diable…


MAIS QUI FINANCE L'ÉTAT ISLAMIQUE ?

 


[1] http://www.lemonde.fr/afrique/article/2015/11/16/monsieur-le-president-vous-etes-tombe-dans-le-piege_4810996_3212.html#itluYLof6G4GWPkm.99