transports

Publié le 11 février 2016 par Serdj

Transports :
terre, mer, air, espace

Il est assez ahurissant de voir combien de moyens notre civilisation consacre aux transports. Une activité qui n'est pourtant pas directement productive, et qui génère un nombre considérable de nuisances (pollution sonore, pollution carbonique, temps perdu, gaspillage des ressources en pétrole de notre planète).
Il serait pourtant possible de réduire significativement nos besoins en transports, et les nuisances engendrées, en recourant à des moyens simples :

  • Rapprocher les lieux de consommation et les lieux de production
  • Utiliser les téléconférences et visioconférences, développer le télétravail
  • Encourager le développement de véhicules propres. Si vous êtes un simple consommateur, il vous suffit pour cela d'en acheter !
  • faire payer aux pollueurs la "vraie" facture de leurs nuisances (incluant les problèmes de santé liés à la qualité de l'air, par exemple)
Ceci étant, ces sujets sont traités dans la section "planète en danger" de ce site.
Dans ces pages, je développerai plutôt des idées de nouveaux moyens de transports (écologiques ?) ou des solutions aux problèmes de gestion des ces moyens :

Juste une autre idée en passant : Je suis très en faveur du ferroutage, non seulement pour les marchandises, mais aussi pour les véhicules particuliers. La SNCF n'a jamais vraiment encouragé les solutions "train+auto", qui reviennent plus cher à l'utilisateur que le simple déplacement en voiture, qui de plus est plus souple. Mais il est possible de faire beaucoup mieux : Au lieu de construire sans cesse de nouvelles autoroutes, pourquoi ne pas construire des lignes ferroviaires dédiées uniquement au ferroutage, avec des très petits trains très fréquents, basés sur le même principe que les navettes du tunnel sous la manche ? L'utilisateur (vous, moi), qui voudrait se rendre, disons de Toulouse à Paris, pourrait ainsi se rendre dans le terminal ferroutage de la ligne Toulouse-Paris, payer un ticket (moins cher que celui d'une autoroute !) et embarquer sa voiture sur une "navette", et le tour serait joué. Si de telles navettes ont un fréquence de, disons cinq à dix minute, plus personne ne roulerait en voiture pour faire ce trajet !
L'avantage ? Il est énorme : le train est le véhicule le moins polluant au passager-kilomètre, et de loin. De plus, il consomme de l'énergie électrique qui peut être fournie par des centrales non polluantes, voire des énergies renouvelables.